MON PLUS PROFOND MEPRIS CHAQUE JOUR POUR LES ELVEURS
MAIS AUSSI POUR LES VIANDARDS CAR LA SEULE SOLUTION EST DE DIRE NON A LA CHAIR ANIMALE....
La souffrance animale se limite-elle aux abattoirs ? Médiatiquement oui, bien souvent. Les images de l’association L214, tournées en caméra cachée dans les salles de mise à mort d’abattoirs français, ont été largement reprises sur le web et ont provoqué des haut-le-cœur chez bon nombre de Français.
Frédérique Mergey prend de la hauteur dans La fin de la souffrance animale ?. Le documentaire sera diffusé ce mardi soir dans Le monde en face, sur France 5. Pour le coup, la réalisatrice a remonté toute la filière viande, à rebours, à travers le prisme du bien-être animal. D’abord les abattoirs, puis les transporteurs et enfin l’élevage intensif.
L’élevage intensif… la bête noire des ONG
Chaque année, un Français mange en moyenne 86 kilos de viande et 80 % des animaux consommés sont issus d’élevages intensifs. C’est la bête noire de L214. « Plus encore que les abattoirs », précise Frédérique Mergey à 20 Minutes. Les images chocs ne manquent pas là encore. La fin de la souffrance animale ? en compile quelques-unes : poussins broyés, poulets entassés, lapins couverts de crevasses à force de tenir sur des grillages et bien d’autres mutilations pour accroître la rentabilité des élevages.Mais Frédérique Mergey ne s’arrête pas aux constats. Elle donne aussi la parole, et pas seulement aux ONG, souvent rompues aux techniques de communication, mais aussi à la défense : des directeurs d’abattoirs, des transporteurs, des éleveurs…
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