lundi 21 octobre 2019
AU NOM DE LA TERRE, UN FILM SANS EMPATHIE POUR LES ANIMAUX
Plus d'un million de spectateurs ont déjà vu l'histoire bouleversante de cet agriculteur de la Vienne, acculé sous le poids des dettes et du travail. Trois semaines après sa sortie dans les salles, "Au nom de la terre" est déjà un succès.
SOURCE ET SUITE
VU HIER .. MON RESSENTI:
LES AGRICULTEURS SONT IMPITOYABLES, LES BÊTES NE REPRÉSENTENT QU' UNE SOURCE DE PROFIT...
D' ailleurs il n' y a ni chat ni chien dans cette ferme!!!!!!!!!!!... et quand le hangar brûle, aucune tentative réelle de sauver les chèvres, ou les poules... bien sur le film n' a pour but que de nous faire pleurer sur le sort des fermiers/agriculteurs... Et ne prend aucunement en compte la détresse de ces animaux privés de liberté, victimes sans défense d'une société livrée au profit ...sans effort, le commercial qui vient livrer l' usine clé en main l' a bien promis au fermier, vous n' aurez rien à faire, tt est automatique !! circuits d' eau pour les abreuver, distribution des granulés, multi vitaminés et antibiotiques sans doute.. une pitance indigeste destinée uniquement à les engraisser au plus vite..
MAIS LES MACHINES TOMBENT EN PANNE ET LE LABEUR HUMAIN PEINE A FAIRE FACE.
LA SALLE ÉTAIT COMBLE,,,, Vraiment un succès ce film en milieu rural, chacun se reconnaissait sans doute dans le rôle de victime du fermier, mais aucun probablement , dans celui des esclaves/animaux...
QUE DEVIENNENT LES CABRIS BALANCES DE MAINS EN MAINS ET CHARGES DANS UNE BÉTAILLÈRE ???
ON NE SAIT PAS QU' IMPORTE!!!!!!!!!!!!!
AUCUNE MAIN NE S' EST JAMAIS PRÉSENTÉE POUR OFFRIR UNE CARESSE A CES TRÉSORS...par contre LES FERMIERS collectionnent les petits BILLY , le lait/sang des chèvres qui les fait vivre..
Bien sur le commercial est aussi à blâmer, ainsi que les banques qui bizarrement sont épargnées, pourtant le crédit ajouté aux crédits précédents sont aussi responsables des suicides
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