SOURCE ET SUITE
TOUT CELA C' EST DU BLA BLA.... LES ANIMAUX SONT ELEVES DANS DES CONDITIONS DEPLORABLES... LES SOUFFRANCES SONT QUOTIDIENNES AINSI QUE LES MALTRAITANCES (VICIEUSES) ALORS LA SEULE SOLUTION EST ENTRE NOS MAINS..
ARRETER DE CONSOMMER DE LA VIANDE
LE RESTE C' EST JUSTE POUR FAIRE SEMBLANT.. DES PETITES POINTURES TT CELA!!!!!!!!!!!!
Des canetons broyés, des bovins ou des porcs saignés alors qu'ils
bougent encore, un agneau écartelé vivant... ces images-chocs de
souffrance animale dans des abattoirs avaient conduit à la création
d'une commission d'enquête parlementaire au printemps. Elle dévoile ses
propositions mardi. Parmi les pistes esquissées pendant les trois mois
d'audition : l'amélioration de la formation du personnel et des
contrôles vétérinaires, mais aussi la question de la mise en place d'une
vidéosurveillance. En quelques mois, l'association L214, qui milite
pour le bien-être animal et prône une alimentation végétarienne, a
publié sept vidéos, tournées en caméra cachée dans des abattoirs
français : ces images, souvent insoutenables, d'animaux en grande
souffrance ont conduit des abattoirs à fermer, au moins provisoirement,
et à être condamnés pour « mauvais traitement envers un animal ».
Des contrôles menés par l'administration, après ces vidéos-chocs, ont
montré des manquements graves sur 5 % des lignes d'abattage de 259
abattoirs français inspectés (sur 263) au mois d'avril. Trois
établissements avaient été fermés. Ces images ont surtout suscité un
émoi tel qu'une commission d'enquête parlementaire a été créée,
multipliant pendant trois mois les auditions de ministres, dirigeants
d'abattoir, vétérinaires, membres de l'administration, syndicalistes
agricoles, dignitaires religieux, chercheurs et représentants
d'associations de défense des animaux pour déterminer ce qui peut être
amélioré. Les investigations de la commission présidée par le député
Olivier Falorni (radicaux de gauche) ont notamment porté sur la
formation du personnel d'abattoir, jugée insuffisante. Ces salariés ont
besoin d'une solide formation « initiale et continue », a ainsi estimé
le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, mais aussi d'un suivi pour « faire évoluer les carrières » et rendre le métier plus attractif.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire