mardi 11 juin 2013

TORTURE DANS VOTRE ASSIETTE

"J'ai vus prendre ces assommoirs – ils sont environ aussi longtemps comme un bâton de triage – et le pousser vers le haut cul de porc... Ils le font avec les vaches, trop... Et dans leurs oreilles, leurs yeux, dans leur gorge... Ils vont crisser et ils vont juste le pousser jusque là. »

"Porcs se stressés assez facile. Si vous leur prod trop, ils ont des crises cardiaques. Si vous obtenez un porc dans une goulotte qui a eu la merde Poussée hors de lui et a une crise cardiaque ou refuse de se déplacer, vous prenez un crochet à viande et l'accrocher dans sa Bonde [anus]. Vous faites glisser ces porcs vivants et beaucoup de fois le crochet à viande se déchire sur la bonde. J'ai vu des jambons – cuisses – complètement éventrés. J'ai aussi vu des intestins sortent. Si le porc s'effondre près du front de la goulotte, vous pousser le crochet à viande dans sa joue et lui glissez vers l'avant."

"Ou dans leur bouche. Le toit de leur bouche. « Et ils sont encore en vie ».
"Porcs sur le plancher de tuer ont venu et me nuzzled comme un chiot. Deux minutes plus tard je devais tuer – les battre à mort avec un tuyau. »

"Ces porcs se lever à la cuve d'échaudage, frapper l'eau et commencent à crier et à coups de pied. Parfois ils thrash afin qu'ils le coup d'eau hors du réservoir... Tôt ou tard, ils se noient. Il y a un bras rotatif qui les pousse sous, aucune chance pour eux de sortir. Je ne suis pas sûr si elles brûlent à mort avant qu'ils se noient, mais il les prend quelques minutes pour arrêter volée."

"Parfois j'ai attraper [un porc] par l'oreille et collez-la en passant par le œil. Je ne prends pas seulement son œil, j'irai jusqu'au bout, à droite vers le haut à travers le cerveau et tremblement le couteau. »

"Seulement vous ne tuez pas seulement elle, vous allez fort, poussez fort, soufflez la trachée, il se noyer dans son sang. Diviser son nez. Un porc vivant s'exécuteraient autour de la fosse. Il serait juste regarder vers le haut à moi et je voudrais être coller, et je venais prendre mon couteau et – découper ses yeux alors qu'il se tenait juste là. « Et ce porc serait juste crier ».

« Je pourrais vous parler histoires d'horreur... bovins obtenir leurs têtes coincé sous les gardes de la porte et la seule façon que vous pouvez l'obtenir dehors est de couper leurs têtes pendant qu'ils sont encore en vie. »

"Il va coups de pied [porc], leur fourche, utiliser tout ce qu'il peut mettre la main sur. Il a déjà brisé trois fourches jusqu'ici cette année, juste piquant eux. Il s'en fout si il frappe ses yeux, la tête, le butt. Il les jabs si difficile qu'il a une main perdante les poignées en bois. « Et il les clubs sur le dos. »

"J'ai vu des animaux vivants mis aux fers, hissé, coincé et écorchés. Trop pour les compter, trop de choses à se rappeler. C'est juste un processus qui est toujours là. J'ai vu enchaînés boeuf regardant autour, avant ils ont été coincés. J'ai vu des porcs [qui sont censés être couché] sur le convoyeur saignement se lever après qu'ils ont été égorgés. J'ai vu les porcs dans la cuve d'échaudage essayer de nager."

« J'ai vu les gars prendre des balais et le bâton vers le haut derrière, de la vache vissant avec un balai. »

"I ' ve drogues vaches jusqu'à ce que leurs os démarrer la rupture, alors qu'ils étaient encore en vie. Apportant au coin et ils coincé dans la porte vers le haut, tirez simplement sur eux jusqu'à ce que leur peau fougueuse, jusqu'à ce que le sang s'écouler seulement sur l'acier et le béton. Briser les jambes... Et la vache pleurer avec sa langue sortait. Ils tirent lui jusqu'à son cou juste pop."

"Un moment que j'ai pris mon couteau-c'est assez nette- et j'ai tranché l'extrémité du nez de porc, tout comme un morceau de Bologne. Le porc est devenu fou pendant quelques secondes. Puis il juste assis là à la recherche de sorte de stupide. Alors j'ai pris une poignée de saumure de sel et branchez-le dans son nez. Maintenant que le porc est vraiment allé noix, poussant son nez dans tous les sens. J'ai toujours eu un tas de sel dans ma main-je portais un gant de caoutchouc – et j'ai collé le droit sel cul de porc. Le pauvre porc ne savait de merde ou de devenir aveugle. »

Cite de travailleurs des abattoirs tirés du livre de Gail Eisnitz "Abattoir". (Traduit par Bing)


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