SOURCE ET SUITE
................ CELUI DE CE CONSEILLER POLITIQUE QUI ECRIT POUR BOULEVARD VOLTAIRE = BEZIERS =LES TAUREAUX MEURENT PAR DIZAINES CHAQUE ANNE + PIRE..... LA FERIA ATTIRE UN MILLION DE FOUS ICI DONC BIG BUSINESS..
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ICI POUR DEMANDER (ILLUSOIRE BIEN SUR MAIS JE SIGNALE) A MONSIEUR ROBERT MENARD JUSTEMENT D' ARRETER CES MEURTRES!! JE CITE:
""BEZIERS, ARRÊTEZ LES MEURTRES !! DÉFINITIVEMENT !!! DONNEZ UNE CHANCE A NOTRE PAYS D’ÉVOLUER !""
CE DONT CE TEXTE DU CONSEILLER POLITIQUE NE PARLE PAS, C' EST QUE LE TAUREAU LUI NON PLUS N' A PAS REÇU LE RESPECT QUE SA VICTOIRE AURAIT DU LUI ACCORDER!!!!.
MALGRÉ TOUS LES HANDICAPS, CE VAILLANT TAUREAU A RÉUSSI A SE DÉFENDRE LUI QUI AFFAIBLI N' AVAIT QUE SON INTELLIGENCE POUR DÉJOUER LES COUPS PORTES PAR SON TORTIONNAIRE.
A L' ISSUE DU COMBAT CE BRAVE TAUREAU A ÉTÉ LÂCHEMENT PENDU ET LES AFICIONADOS ONT ASSISTE SATISFAITS ET JOUISSIFS A SA LONGUE AGONIE SANS MÊME INTERVENIR PAR COMPASSION ET LUI ACCORDER DÉLIVRANCE EN ABRÉGEANT SES SOUFFRANCES.
MON JUGEMENT RESTE LE MÊME LES AFICIONADOS ET LES TORERO NE MÉRITENT QUE MÉPRIS ET UN MORT NE RACHÈTE PAS LA SOUFFRANCE SUBIE PAR CES CENTAINES DE PAUVRES BÊTES AVANT LE COMBAT (PRÉPARATION PRÉ CORRIDA, VOIR ICI DONT EXTRAIT (Avant le combat, le taureau est parfois préparé.
Yeux
enduits de vaseline (afin de le désorienter), usage en dose massive de
tranquillisants, hypnotisants, et même sprays paralysants (les mêmes
utilisés par les forces de l’ordre, qui ont pour effet d’altérer la
vue).
Pattes enduites
d’essence de térébenthine, qui lui procure des brûlures insupportables,
dans le but de l’empêcher de rester tranquille.
Aiguilles cassées dans les testicules, dans le but d’empêcher le taureau de s’asseoir ou de s’affaler.
Coton enfoncé dans les narines et qui descend jusque dans la gorge, dans le but de rendre plus difficile la respiration.
Coups de pieds et de planche sur l’échine et sur les reins, pour ne laisser aucune traces.
Les
sabots sont limés, voire incisés et on enfonce des coins de bois entre
les onglons, cette opération est faite pendant la contention dans la
boîte à treuil (en même temps que l’afeitado).
Et
juste avant de rentrer dans l’arène, on lui laissera tomber une
trentaine de fois des sacs de sable de 100 kg sur les reins, après
l’avoir immobilisé.) ET PENDANT LE COMBAT DANS UN CONTEXTE PERÇU DÉJÀ COMME UNE MENACE CAR INHABITUEL (FOULE EN DÉLIRE VOLUME SONORE.. ETC)
EN RÉSUME, OUI, JE SUIS TRÈS SATISFAITE QUE NOS RÉACTIONS AIENT PU EN CHOQUER QUELQUES UNS.. IL FAUDRAIT FAIRE PLUS ENCORE, ET OUI, JE PRÉFÈRE LES TAUREAUX A MES VOISINS...
DE PLUS LE TAUREAU EST SOUVENT UN ANIMAL SUPERBE , DE TOUTE BEAUTÉ... JE NE DIRAI PAS LA MÊME CHOSE DE MES VOISINS.
""Le soleil dominical m’aura tenu écarté, une bonne partie de la
journée, des réseaux sociaux et de la vague de messages de satisfaction
honteuse suite à l’annonce de la mort d’un torero basque après son
encornage lors d’une corrida à Aire-sur-l’Adour, dans les Landes. Tel un
vulgaire assassin, Iván Fandiño n’aura donc pas eu droit à la
compassion qui sied en pareil cas, mais au contraire aura eu à subir un
déferlement post mortem de haine..........
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Dans les débats opposant pro et anti, j’oppose volontiers mon
indifférence qui place à égale distance les arguments des uns qui voient
dans la mise à mort du taureau une barbarie surannée et des autres qui
assimilent le combat à un spectacle qu’il faut préserver au nom d’une
longue tradition. Ma pusillanimité vient aussi du constat que la corrida
fait partie des sujets « à éviter » en société, au même titre que la
peine de mort ou l’avortement, sous peine de voir sourdre des tensions
irréconciliables........................
................................En des termes plus crus, certains, dans une société individualiste qui
fonctionne aux émotions primaires, sont prêts à sauver un animal blessé
au bord de la route mais à laisser périr leur voisin dans la misère.
Pour autant, les violences faites aux animaux doivent (évidemment)
être combattues sans ménagement. On ne saurait considérer comme humain
un homme ou une femme torturant un animal sans égard pour celui-ci. Le
combat pour le bien-être animalier prend néanmoins des formes confinant,
de plus en plus souvent, à l’extrémisme et à la jocrisserie.
Les réactions au drame de samedi soir ne peuvent mieux illustrer les
dérives actuelles de la cause animale. Si la mort fait partie des
risques du métier qu’encourt le torero, elle ne devrait jamais donner
lieu à des réjouissances dignes d’une victoire en Coupe du monde de
football.
Iván Fandiño méritait davantage de respect, au moins celui que l’on doit au vaincu.
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