SOURCE ET SUITE
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L'association
Animal Cross accuse la SPA de Pau-Berlanne d'avoir tué plusieurs
milliers d'animaux entre 2010 et 2014, dont des chiots et des chats. Une
ancienne vétérinaire du refuge a été entendue mercredi par la chambre
régionale de discipline de l’ordre national des vétérinaires.
Le bruit court depuis sept ans, mais l’affaire ne ressurgit que maintenant. Dans un communiqué,
l’association de défense des animaux Animal Cross s’insurge contre la
SPA de Pau-Berlanne, qu’elle accuse d’avoir tué «plus de 1700 animaux
adultes» entre 2010 et 2013 et asphyxié à l’éther des «centaines de
chiots et chatons sur la période 2010-2014».
Le début de l’enquête, menée par le collectif, remonte à 2014, après qu’il a été alerté par des témoins et des salariés. «Ces abattages avaient lieu régulièrement le jeudi et étaient réalisés par les vétérinaires libéraux en charge de la SPA. Alors que la SPA de Pau devait être une nouvelle chance pour les animaux, elle était devenue l’antichambre de la mort pour nombre d’entre eux», écrit l’association.
SUITE
Le début de l’enquête, menée par le collectif, remonte à 2014, après qu’il a été alerté par des témoins et des salariés. «Ces abattages avaient lieu régulièrement le jeudi et étaient réalisés par les vétérinaires libéraux en charge de la SPA. Alors que la SPA de Pau devait être une nouvelle chance pour les animaux, elle était devenue l’antichambre de la mort pour nombre d’entre eux», écrit l’association.
Des délais de garde non respectés
Pour dénoncer ces actes, Animal Cross avait fait intervenir, à l’hiver 2014, un huissier de justice pour que celui-ci saisisse des documents clés en vue de la déposition d'une plainte. Lors de sa visite dans l’établissement, 15 cadavres d’animaux avaient été découverts dans des sacs en plastique, entassés dans des congélateurs. Mais pour le directeur de l’association Benoît Thomé, cité par «Le Monde», «’l’enquête de la gendarmerie a été bâclée’, de même que les deux inspections de la direction départementale de la protection des populations, en 2012 et 2013, qui avaient déclaré ‘conforme’ mais sans regarder le nombre d’abattages. «Une première enquête avait conclue un simple rappel à la loi, d’un des soigneur, ce qui nous paraissait très peu au vu de la gravité des faits accomplis», témoigne dans une vidéo un membre de l’association, visage caché.SUITE
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