SOURCE ET SUITE
MAIS QU' ILS LES FERMENT CES PARCS AQUATIQUES!!!!!
EXACT SI LES TOURISTES ARRETAIENT DE S' Y RENDRE CELA PERMETTRAIT DE LES FERMER.
Nouvelle colère des écologistes et grande tristesse à
l’approche de Noël alors qu’une toute jeune orque âgée de 18 ans est
décédée au parc SeaWorld de San Antonio.
Une nouvelle orque en captivité vient de décéder à SeaWorld (parc
aquatique zoologique controversé aux États-Unis). Unna, orque femelle
âgée de 18 ans, est la troisième sur la liste des disparus depuis les six derniers mois dans l’un des complexes de SeaWorld. Le mammifère marin souffrait de candida
(infection bactériologique grave) depuis septembre et n’a pu être
sauvée. Se disculpant de toute responsabilité, le parc a précisé dans un
communiqué que ce type de champignon était présent dans la nature.
Certaines associations de protection animale dont Peta (la
plus influente au monde dans le domaine) ont levé immédiatement leur
bouclier pour dénoncer des conditions de captivité qui entraînent des
morts précoces chez ces animaux complexes, sociaux et inadaptés par
nature à l’enfermement. Peta a d’ailleurs stipulé qu’Unna était
la 38éme orque de Seaworld à décéder de façon précipitée depuis le
début de cette industrie du spectacle. Rappelons qu’en liberté, une
orque femelle peut espérer vivre plus de 100 ans.
C’est un « cadeau de Noël » dont le parc se serait bien passé. Cette
perte tragique vient ternir un peu plus l’image des parcs zoologiques
aquatiques comme Seaworld dont les bénéfices n’en finissent plus de
chuter depuis la sortie du film BLACKFISH (L’orque
tueuse). Les infections de la peau, les maladies ou encore les
accidents semblent fréquents en captivité si l’on en croit le
documentaire et les enquêtes de spécialistes comme Ingrid Visser
(biologiste marine) ou encore Lori Marino (neuroscientifique présente
dans les documentaires Blackfish et A Fall From Freedom).
Si les orques sauvages rencontrent bien évidemment des dangers dans
leur environnement naturel (notamment les polluants en tout genre), leur
espérance de vie est écourtée en captivité. Le manque d’espace,
l’entraînement forcé, l’incapacité de chasser ou encore d’utiliser leur
sonar, contraignent les orques à une vie d’ennui et de frustrations
diverses qui les mènent parfois à la violence ou la folie. Le cas
tragique de Tilikum (qui n’est autre que le » père » par insémination
de Unna) ayant déjà tué 3 personnes est assez parlant. Selon certains
observateurs Unna aurait pu se blesser volontairement en se projetant
contre les parois de son bassin, en raison du stress (d’autres orques
ont déjà eu ce comportement en captivité, voir le cas de Hugo dans
l’article : Lolita, l’orque qui vit dans un bassin de 10m depuis 40 ans).
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......................Seaworld vit-il ses derniers jours ? L’impact touchera t-il plus
largement d’autres pays ? L’opinion publique, elle, semble s’allier plus
que jamais contre ce business difficilement justifiable. Cependant, des
millions de touristes continuent d’affluer dans les différents parcs
marins du monde chaque année, justifiant la perpétuation de cette
industrie du spectacle.
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