SOURCE ET SUITE
ON SE DEMANDE BIEN QUEL ABATTOIR VA VOULOIR SANS ETRE FORCE PAR UNE LOI, DISPOSER UNE CAMERA..
FOUTAGE DE GUEULE DONC MAIS A SUIVRE...
Des images insoutenables et des pratiques inexcusables, qui ont poussé Brigitte Bardot à dénoncer la politique d’Emmanuel Macron. Car, si le ministère de l'Agriculture a annoncé la suspension provisoire de cet établissement, tous les abattoirs ne sont pas pourvus de caméra de surveillance. "Il [le président] avait promis lors de sa campagne de mettre des caméras dans les abattoirs, or quand je l'ai revu il m'a dit qu'il ne le ferait pas", a ainsi expliqué l’ancienne muse de Jean-Luc Godard. Et d’ajouter : "C'est un scandale de faire ça".
Elle avait déjà, le 7 février, écrit une lettre au président, concernant la vidéosurveillance dans les abattoirs. Elle l’avait alors accusé de n’avoir "fait naître aucun espoir pour les défenseurs des animaux" et d’avoir même "fait marche arrière sur des engagements qu’attendaient les Français".
Un coup de gueule en partie erroné. Car la nouvelle loi alimentation, adoptée le 29 octobre, prévoit notamment une expérimentation du contrôle vidéo dans les abattoirs. A défaut d'une obligation, le dispositif repose sur le volontariat. Les caméras seront disposées pour une durée de deux ans uniquement si les représentants du personnel sont d'accord.
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