SOURCE ET SUITE
SUR PAGE SIGNATURE
ON PEUT TOUJOURS REVER VU QUE TRAVERT SE FOUT PAS MAL DES ANIMAUX.... ET QU' IL VEUT PLUS DE MALTRAITANCE ANIMALE POUR PLUS DE COMMERCE POUR LES ELEVEURS, MAIS BON A SIGNER TT DE MEME BIEN SUR.. ET PTG CAR LE TEXTE EST TRES EXPLICATIF..
A l'attention de M. Stéphane Travert, Ministre de l'Agriculture et de l'alimentation.
Les exportations d’animaux vivants hors de l’Union Européenne sont la cause de nombreuses souffrances animales inacceptables.
Les trajets peuvent durer jusqu’à 15 jours, dans des conditions
extrêmes de chargement, de températures, sans repos ou soins appropriés.
Une fois franchies les frontières de l’Europe, les conditions d’abattage dans certaines destinations sont insoutenables, sans même la garantie de l’application des standards internationaux de l’OIE.
Les dispositions du cadre législatif actuel, le Règlement européen
1/2005, doivent s’appliquer non seulement au sein de l’Union Européenne
mais aussi par-delà ses frontières, jusqu’à la destination finale des
animaux, comme l’a précisé la Cour de justice de l’UE en 2015 [1]. Le
Règlement requiert que les autorités de chaque Etat membre s’assurent
que les conditions de transport puissent se faire dans le respect du
Règlement avant de les autoriser.
Le constat est que le Règlement comporte de trop nombreuses lacunes,
en particulier pour le transport maritime et hors de l’UE, et que les
infractions sont quasi-systématiques, en l’absence de contrôles
suffisants et de sanctions dissuasives.
Peut-on refuser certaines pratiques en France mais profiter
de ce commerce cruel en envoyant nos animaux sans le conditionner au
respect des mêmes normes que les nôtres dans le pays de destination ?
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