SOURCE ET SUITE
77 ANS DE PRISON!!!!!!!!!!!!!!!!!!!POUR LE BRACONNIER
JOHANNESBURG (AP) — A rhino poacher in South Africa has been sentenced to 77 years in prison in one of the heaviest penalties aimed at curbing poachers who target rhinos for their horns, which fetch a high price on the illegal market in parts of Asia.
The sentencing of Mandla Chauke, a South African who was arrested in Kruger National Park in 2011, shows that South African courts are starting to realize the negative impact that poaching has not only on wildlife but also an economy heavily dependent on tourism, South Africa's national parks service said Wednesday.
"We hope that this will be a deterrent" to other poachers, parks spokesman Reynold Thakhuli said.
Earlier this month, a South African court sentenced two Mozambicans to 16 years in prison for killing a rhino and taking its horn last year in Kruger park, where many poachers cross from neighboring Mozambique. In late 2012, a South African court sentenced a Thai national to 40 years in prison for selling rhino horns.
Autrefois l'apanage des
pays riches, la consommation de viande ne cesse de se démocratiser et
d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans les pays en
voie de développement amplifie les effets déjà catastrophiques, mais
peu évoqués, d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile.
En moyenne, un être humain consomme 100 g de viande par jour. Dans les
pays développés, la consommation est supérieure à 200 g par jour alors
que dans les pays en développement elle est de 47 g, avec de fortes
disparités régionales.
Alors que la consommation individuelle de viande en France a diminué
depuis 1998, elle est de nouveau en hausse en 2010 avec une augmentation
de 1%[1]. En moyenne, un Français mange près de 88 kg de viande par
an[2] (contre 81,9 kg en moyenne dans l'Union européenne), soit plus de
240 g par jour : plus de 6 tranches de jambon ! Cela représente, pour
notre pays, l'abattage de 1,1 milliard d'animaux par an (60 milliards à
l'échelle mondiale[3]).
Une pression sur la surface agricole disponible
La production mondiale de viande a quintuplé entre 1950 et 2000. Elle
était de 283,9 millions de tonnes en 2009[3] et pourrait atteindre 465
millions de tonnes en 2050 tandis que la production de lait passerait de
702,1 millions de tonnes à 1043 millions de tonnes sur la même période
au regard de la croissance démographique et de l'évolution des habitudes
alimentaires[4]. Or, pour nourrir le bétail, la demande en céréales
augmente de manière considérable, les céréales étant de plus en plus
l'aliment de base du bétail, au détriment de l'herbe des pâturages.
C'est pourquoi, selon les prévisions de l'Organisation des Nations Unies
pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), il serait nécessaire de
doubler la production agricole d'ici à 2050. En effet, pour produire un
kilo de viande, il faut 7 kilos de céréales. Pour répondre à cette
demande, il est possible d'augmenter la surface des terres cultivées,
mais à quel prix ? Déforestation, monocultures intensives, utilisation
de pesticides, d'OGM, destruction d'écosystèmes et perte de
biodiversité...
L'élevage extensif et le soja exporté comme aliment du bétail sont la
première cause de la déforestation selon Alain Karsenty, économiste au
Centre de coopération internationale pour le développement et expert
auprès de la Banque mondiale. Après une enquête de 3 ans publiée en juin
2009, Greenpeace affirme que l'élevage bovin est responsable à 80% de
la destruction de la forêt amazonienne[5]...
L'UE, dont la superficie des forêts augmente, est le 4e importateur de
bovins derrière les USA, la Russie, et le Japon. En outre, 80% des
importations de bovins de l'UE viennent d'Amérique du Sud. Or, la France
est le premier consommateur européen de viande bovine. Ainsi la
consommation de viande en Europe et en France est une cause de la
déforestation en Amérique du Sud.
Source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2202_surconsommation_viande.php
Source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2202_surconsommation_viande.php
Autrefois l'apanage des
pays riches, la consommation de viande ne cesse de se démocratiser et
d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans les pays en
voie de développement amplifie les effets déjà catastrophiques, mais
peu évoqués, d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile.
En moyenne, un être humain consomme 100 g de viande par jour. Dans les
pays développés, la consommation est supérieure à 200 g par jour alors
que dans les pays en développement elle est de 47 g, avec de fortes
disparités régionales.
Alors que la consommation individuelle de viande en France a diminué
depuis 1998, elle est de nouveau en hausse en 2010 avec une augmentation
de 1%[1]. En moyenne, un Français mange près de 88 kg de viande par
an[2] (contre 81,9 kg en moyenne dans l'Union européenne), soit plus de
240 g par jour : plus de 6 tranches de jambon ! Cela représente, pour
notre pays, l'abattage de 1,1 milliard d'animaux par an (60 milliards à
l'échelle mondiale[3]).
Une pression sur la surface agricole disponible
La production mondiale de viande a quintuplé entre 1950 et 2000. Elle
était de 283,9 millions de tonnes en 2009[3] et pourrait atteindre 465
millions de tonnes en 2050 tandis que la production de lait passerait de
702,1 millions de tonnes à 1043 millions de tonnes sur la même période
au regard de la croissance démographique et de l'évolution des habitudes
alimentaires[4]. Or, pour nourrir le bétail, la demande en céréales
augmente de manière considérable, les céréales étant de plus en plus
l'aliment de base du bétail, au détriment de l'herbe des pâturages.
C'est pourquoi, selon les prévisions de l'Organisation des Nations Unies
pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), il serait nécessaire de
doubler la production agricole d'ici à 2050. En effet, pour produire un
kilo de viande, il faut 7 kilos de céréales. Pour répondre à cette
demande, il est possible d'augmenter la surface des terres cultivées,
mais à quel prix ? Déforestation, monocultures intensives, utilisation
de pesticides, d'OGM, destruction d'écosystèmes et perte de
biodiversité...
L'élevage extensif et le soja exporté comme aliment du bétail sont la
première cause de la déforestation selon Alain Karsenty, économiste au
Centre de coopération internationale pour le développement et expert
auprès de la Banque mondiale. Après une enquête de 3 ans publiée en juin
2009, Greenpeace affirme que l'élevage bovin est responsable à 80% de
la destruction de la forêt amazonienne[5]...
L'UE, dont la superficie des forêts augmente, est le 4e importateur de
bovins derrière les USA, la Russie, et le Japon. En outre, 80% des
importations de bovins de l'UE viennent d'Amérique du Sud. Or, la France
est le premier consommateur européen de viande bovine. Ainsi la
consommation de viande en Europe et en France est une cause de la
déforestation en Amérique du Sud.
Source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2202_surconsommation_viande.php
Source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2202_surconsommation_viande.php
Autrefois l'apanage des
pays riches, la consommation de viande ne cesse de se démocratiser et
d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans les pays en
voie de développement amplifie les effets déjà catastrophiques, mais
peu évoqués, d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile.
En moyenne, un être humain consomme 100 g de viande par jour. Dans les
pays développés, la consommation est supérieure à 200 g par jour alors
que dans les pays en développement elle est de 47 g, avec de fortes
disparités régionales.
Alors que la consommation individuelle de viande en France a diminué
depuis 1998, elle est de nouveau en hausse en 2010 avec une augmentation
de 1%[1]. En moyenne, un Français mange près de 88 kg de viande par
an[2] (contre 81,9 kg en moyenne dans l'Union européenne), soit plus de
240 g par jour : plus de 6 tranches de jambon ! Cela représente, pour
notre pays, l'abattage de 1,1 milliard d'animaux par an (60 milliards à
l'échelle mondiale[3]).
Une pression sur la surface agricole disponible
La production mondiale de viande a quintuplé entre 1950 et 2000. Elle
était de 283,9 millions de tonnes en 2009[3] et pourrait atteindre 465
millions de tonnes en 2050 tandis que la production de lait passerait de
702,1 millions de tonnes à 1043 millions de tonnes sur la même période
au regard de la croissance démographique et de l'évolution des habitudes
alimentaires[4]. Or, pour nourrir le bétail, la demande en céréales
augmente de manière considérable, les céréales étant de plus en plus
l'aliment de base du bétail, au détriment de l'herbe des pâturages.
C'est pourquoi, selon les prévisions de l'Organisation des Nations Unies
pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), il serait nécessaire de
doubler la production agricole d'ici à 2050. En effet, pour produire un
kilo de viande, il faut 7 kilos de céréales. Pour répondre à cette
demande, il est possible d'augmenter la surface des terres cultivées,
mais à quel prix ? Déforestation, monocultures intensives, utilisation
de pesticides, d'OGM, destruction d'écosystèmes et perte de
biodiversité...
L'élevage extensif et le soja exporté comme aliment du bétail sont la
première cause de la déforestation selon Alain Karsenty, économiste au
Centre de coopération internationale pour le développement et expert
auprès de la Banque mondiale. Après une enquête de 3 ans publiée en juin
2009, Greenpeace affirme que l'élevage bovin est responsable à 80% de
la destruction de la forêt amazonienne[5]...
L'UE, dont la superficie des forêts augmente, est le 4e importateur de
bovins derrière les USA, la Russie, et le Japon. En outre, 80% des
importations de bovins de l'UE viennent d'Amérique du Sud. Or, la France
est le premier consommateur européen de viande bovine. Ainsi la
consommation de viande en Europe et en France est une cause de la
déforestation en Amérique du Sud.
Source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2202_surconsommation_viande.php
Source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2202_surconsommation_viande.php
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