vendredi 30 mars 2018

J' ADORE!!!!!!!!!!!!!!!

SOURCE ET SUITE

Ce qui est bon pour l’oie est bon pour le jars. Du moins, c’est ce que semble penser la Russie. Il se peut qu’il n’y ait pas de preuve décisive que la Grande Bretagne ait empoisonné Sergueï Skripal et sa fille Yulia venue lui rendre visite. Mais il n’y a pas de preuve non plus que Moscou l’ait fait, ce qui n’a pas empêché Londres d’exiger de Moscou des preuves de son innocence (et dans les 24 heures encore !). En outre, ce sont les Britanniques qui empêchent les Russes d’accéder aux preuves et non l’inverse.
Dans ce cas, pourquoi la Russie n’exigerait-elle pas que ce soit la Grande Bretagne qui fournisse des preuves de son innocence ? Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères ne voit pas pourquoi elle s’en abstiendrait.
En conséquence, la Russie a exigé que Londres fournisse des preuves que les espions britanniques n’ont pas, eux-mêmes, empoisonné l’ex-agent double Sergueï Skripal.
Le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que l’analyse, par ses soins, de la tentative d’assassinat, l’a porté à croire à une possible implication de l’Intelligence Service britannique.
Le Ministère a donc dit qu’en l’absence de preuves de l’innocence britannique, Moscou considérera l’incident comme un attentat perpétré contre les vies de citoyens russes en territoire étranger.
 « Une analyse de toutes les circonstances… nous amène à penser à une possible implication (dans l’empoisonnement) des service secrets britanniques », a fait savoir le Ministère dans une déclaration publique.
 « Si des preuves convaincantes du contraire ne sont pas présentées à la partie russe, nous considérerons que nous avons affaire à un attentat contre la vie de nos citoyens, dans le cadre d’une provocation politique massive. »

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