mardi 13 mars 2018

GAIA CAMERA CACHEE TRES DURE ELEVAGE DE POULES

SOURCE ET SUITE

 AVEC VIDEO

 AFFREUX!!!!!!!!!!!!!!!!!

PEUT ETRE CELLE CI VOUS DECOURAGERA-T-ELLE DE  MANGER DU POULET .

 JE L' ESPERE

 

« Les supermarchés doivent mettre un terme à la souffrance intolérable des poulets belges »

Entre octobre et décembre 2017, GAIA a filmé en caméra cachée les conditions de vie infernales et indignes des poulets dits « de chair » dans six élevages flamands. Les images sont pénibles à voir : animaux à l'agonie, boiteux et déformés ; brûlures de la plante des pattes et de la peau (dermatites) ; ascite... « Si les images prouvent une chose, c'est que la viande de poulet est bon marché parce que ce sont les animaux qui en paient le prix », condamne Michel Vandenbosch, le président de GAIA. « GAIA a également constaté que les normes minimales légales n'étaient même pas respectées dans les entreprises visitées par l'organisation de défense des animaux. C'est cependant l'ensemble du système cruel d'exploitation intensive des poulets que GAIA dénonce. »
GAIA a documenté les conditions de vie industrielles des poulets peu après leur arrivée dans les élevages, jusqu'à peu avant leur transport vers l'abattoir. A mesure que les jours passent dans les hangars, la souffrance s'intensifie. Les oiseaux peuvent à peine se déplacer, à cause des malformations des pattes et des boiteries. Ils doivent grossir si vite que leurs pattes ne soutiennent plus le poids de leur corps. Beaucoup ne parviennent plus à marcher, et se déplacent péniblement en rampant et en battant des ailes. Les poulets finissent par passer la majorité de leur temps en position allongée, dans leurs propres excréments. La litière souillée et humide dégage de l'ammoniac en forte concentration, qui provoque des brûlures et des ampoules aux pattes et au bréchet. Pour beaucoup, l'accès à l'eau et à la nourriture devient impossible. Un nombre incalculable de poulets agonisent, couchés sur le dos, à bout de souffle. D'autres grossissent jusqu'à tomber morts. Les cadavres jonchent le sol, parmi les «survivants ». Pour s'assurer qu'un nombre suffisant de poulets tienne jusqu'à l'abattoir, les éleveurs administrent des antibiotiques.

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