mardi 24 mai 2016

GAEC DU PERRAT DANS L' AIN.. OU VONT LES OEUFS???

 Des cadavres gisent au fond des cages.

 PEUT ÊTRE  VENDUS DANS VOTRE HYPER MARCHE????
PEUT ÊTRE UN INGRÉDIENT DE VOS GÂTEAUX??? DE VOTRE MAYONNAISE??


 COMMENT SAVOIR??
 MAIS PROBABLE CAR GRANDE DISTRIBUTION (VOIR EN ROSE) 

C' EST BIEN LE PROBLÈME LORSQUE L' ON N' ÉLÈVE PAS SES PROPRES POULES... COMMENT FAIRE CONFIANCE A CES MEGA FERMES LORSQUE L' ON CONSTATE UNE FOIS DE PLUS QUE  BIEN SUR ÉLEVER DES POULES ET UNE TACHE DIFFICILE QUI REQUIERT  BEAUCOUP DE DÉVOTION SANS DOUTE ... DES CONDITIONS D' HYGIÈNE IMPÉRATIVES ETC ETC  CE DONT BIEN PEU DE GENS SONT CAPABLES A L' HEURE ACTUELLE!!!!!

SOURCE ET SUITE
AVEC DE NOMBREUSES PHOTOS 
 CRÉDIT PHOTO
 N' OUBLIEZ PAS DE REGARDER LA VIDEO!!!


Dans une nouvelle vidéo diffusée mercredi 25 mai, l’association de défense des animaux L214 révèle les conditions d’élevage « intolérables pour les animaux et inadmissibles du point de vue sanitaire » qui règnent au sein du GAEC du Perrat, une exploitation de 200 000 poules pondeuses située dans la commune de Chaleins (Ain). L’association s’apprête à déposer plainte devant le tribunal de grande instance (TGI) de Bourg-en-Bresse et lance une pétition demandant aux autorités la « fermeture immédiate » de l’élevage industriel.....
......................
..........................
Les images ont été tournées le 27 avril dans les deux hangars qui accueillent près de 100 000 poules, soit une taille d’exploitation moyenne en France. Les oiseaux y sont enfermés 68 semaines durant, depuis l’âge de 18 semaines jusqu’à leur réforme, sans jamais voir la lumière du jour. Seule activité : pondre des œufs réceptionnés par un tapis mécanique. Le GAEC du Perrat, qui emploie 20 salariés, produit ainsi 160 000 œufs par jour. Selon l’enquête de L214, ils sont notamment vendus sous la marque Matines, dans au moins cinq enseignes de la grande distribution : Auchan, Carrefour, Casino, Intermarché et Super U.
...................
..............................Pourtant, les consommateurs français étaient 90 % à se montrer favorables à l’interdiction des élevages en batterie, selon un sondage OpinionWay publié fin 2014. Mais les changements de pratique restent freinés par les différences de prix, la méconnaissance du code situé sur la coquille indiquant l’origine (s’il commence par 0, il s’agit d’élevage bio, par 1, de plein d’air, par 2, au sol, et par 3, en batterie), et les artifices des marques – comme Matines qui affiche « œufs frais » sur l’étiquette des œufs du GAEC du Perrat.
 SUITE


Aucun commentaire: