mercredi 6 avril 2016

QUIPROQUO, STATUT-QUO OU....... REJET PUR ET SIMPLE??? A SUIVRE UN PAS EN AVANT .. DEUX PAS EN ARIERE COMME TOUJOURS!!!!!!!!!!!!!

SOURCE

Ces derniers jours, entre la vidéosurveillance et la présence d’un salarié « lanceur d’alerte », le consensus s’était largement fait en faveur de la pose de caméras tout au long des chaînes d’abattage.

De son côté, l’OABA (Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs) s’est dite prête à passer une convention avec le ministère de l’Agriculture afin de pouvoir mener des contrôles dans les abattoirs, en suppléance des vétérinaires qui ne sont pas assez nombreux pour assurer cette mission. Une proposition acceptée par le ministère de l’Agriculture et la Direction générale de l’alimentation « à condition qu’elle provoque le consensus parmi tous les membres de la réunion dont font partie les syndicats des abattoirs et des éleveurs » précise Frédéric Freund, directeur de l’OABA.
Les associations de protection animale réclamaient également la mise à disposition publique des rapports d’inspection et des mises en demeure – des 5 dernières années écoulées – rédigées par les services vétérinaires à l’encontre des abattoirs, et la liberté de diffuser ces informations dans le respect des règles de protection de la vie privée. Des mesures qui pourraient être validées par le ministère et mises en application prochainement, mais sans qu’aucun calendrier n’ait été précisé.


Le ministre de l’Agriculture a présenté aux organismes de protection animale ses mesures concernant le bien-être animal, notamment sur la question brûlante des abattoirs (5/04/16). Pour la Fondation 30 Millions d’Amis, la réponse apportée par les autorités est loin d’être à la hauteur des enjeux.

Statut-quo pour les abattoirs ? Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll rencontrait les membres du CNOPSAV* pour leur présenter 20 mesures destinées à améliorer la condition des animaux d’ici 2020. Au cœur des débats, les récents faits présumés de maltraitance dans les abattoirs.
Malheureusement, le ministre a émis des réserves sur la mesure phare demandée notamment par la Fondation 30 Millions d’Amis : l’installation de caméras de surveillance dans les 263 établissements chargés d’abattre les animaux. Cette mesure devait permettre de contrôler à toute heure le bon déroulement de l’abattage et pouvait servir d’élément de preuve en cas de soupçon de maltraitance. Cette solution a été retoquée pour le moment par le ministre arguant qu’elle serait défavorable aux salariés, qui se sentiraient surveillés en permanence.
Quant à la mise en place d’un « responsable protection animale », un salarié bénéficiant d’un statut protégé, le ministre souhaite le généraliser dans tous les abattoirs de France. Mais aucune date précise n’a encore été annoncée pour sa mise en application car c’est la future « Loi Sapin 2 », débattue durant l’été 2016, qui devrait être amendée en ce sens.
Ces derniers jours, entre la vidéosurveillance et la présence d’un salarié « lanceur d’alerte », le consensus s’était largement fait en faveur de la pose de caméras tout au long des chaînes d’abattage.

De son côté, l’OABA (Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs) s’est dite prête à passer une convention avec le ministère de l’Agriculture afin de pouvoir mener des contrôles dans les abattoirs, en suppléance des vétérinaires qui ne sont pas assez nombreux pour assurer cette mission. Une proposition acceptée par le ministère de l’Agriculture et la Direction générale de l’alimentation « à condition qu’elle provoque le consensus parmi tous les membres de la réunion dont font partie les syndicats des abattoirs et des éleveurs » précise Frédéric Freund, directeur de l’OABA.
Les associations de protection animale réclamaient également la mise à disposition publique des rapports d’inspection et des mises en demeure – des 5 dernières années écoulées – rédigées par les services vétérinaires à l’encontre des abattoirs, et la liberté de diffuser ces informations dans le respect des règles de protection de la vie privée. Des mesures qui pourraient être validées par le ministère et mises en application prochainement, mais sans qu’aucun calendrier n’ait été précisé.

 ENFUMAGE DIT 
LA CONFEDERATION PAYSANNE!!!

Ces derniers jours, entre la vidéosurveillance et la présence d’un salarié « lanceur d’alerte », le consensus s’était largement fait en faveur de la pose de caméras tout au long des chaînes d’abattage.



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