lundi 3 août 2015

L' ENFER SUR TERRE POUR LES ANIMAUX C' EST MAINTENANT.





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CRÉDIT PHOTO 
MERCI MOUTONS ENRAGES ET AUTRES SITES EMPATHIQUES 
 
 A LIRE EN TOTALITÉ AVEC LES LIENS ANNEXES
 ON  NE LE DIRA JAMAIS ASSEZ,  L' ÉLEVAGE EST CRIMINEL, LES BIG BUSINESS SONT SANS PITIÉ DEMANDANT TOUJOURS PLUS POUR MOINS CHER, LES PAYS INDIGNES SE SOUMETTENT (IE L' ALLEMAGNE ET LES PAYS BAS POUR CITER LES PLUS GROS)  ET LE SEUL MOYEN D' AIDER LEBÊTES EST DE DEVENIR VÉGÉTARIEN OU MIEUX VEGAN ET DE PARTAGER TES CES PRATIQUES INDIGNES POUR QUE LE PPL RÉALISE ENFIN ET CHANGE SES HABITUDES ALIMENTAIRES.
 

« La tragédie du jour suivant, écrivait Edward Gibbon (1) à propos des spectacles romains, consista dans un massacre de cent lions, d’autant de lionnes, de deux cents léopards et de trois cents ours. » Le temps de ces spectacles odieux est révolu (même si divers combats de coqs ou de taureaux font penser qu’on pourrait encore remplir un cirque avec des amateurs de sang). Mais la vérité, si l’on consent à la regarder en face, est que notre société fait preuve d’une plus grande et plus secrète cruauté.
Aucune civilisation n’a jamais infligé d’aussi dures souffrances aux animaux que la nôtre, au nom de la production rationnelle « au coût le plus bas ». Pour sept cents fauves massacrés un jour de fête dans l’Empire romain, ce sont des millions d’animaux que nos sociétés condamnent à un long martyre.
N’ayons pas peur des mots : la France est couverte de camps de concentration et de salles de torture. Des convois de l’horreur la sillonnent à tout instant et en tous sens. Pour cause d’élevage intensif, les fermes, devenues des « exploitations », se sont reconverties en centres de détention à régime sévère, et les « fillettes » de Louis XI passeraient pour de véritables hangars face aux dispositifs où l’on enferme des créatures que la nature avait conçues pour la lumière, pour le mouvement et pour l’espace.
En France, 50 millions de poules pondeuses -à qui l’on a souvent tranché le bec au fer rouge- sont incarcérées à vie dans des cages minuscules où elles ne peuvent ni dormir ni étendre les ailes, mais seulement absorber une nourriture éventuellement issue de fosses septiques et de boues d’épuration…
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