lundi 3 novembre 2014

CAUSE ANIMALE.....PAUL McCARTNEY ET VIVE LE NET

 Dans l'abattoir Santacarnes, à Santarem le 10 octobre.



VOUS VOUS SOUVENEZ DE CE QUE DISAIT PAUL McCARTNEY
""Si les abattoirs avaient des vitres de verre, tout le monde serait végétarien.""
 HE BIEN OUI MAINTENANT  AVEC YOUTUBE, LES CAMERAS CACHEES ET AUTRES C' EST PRESQUE LA MEME CHOSE QUOIQUE LES ELEVEURS, LES ABATTOIRS TENTENT ENCORE DE CACHER CES CRIMES CES ANGOISSES CES MORTS BARBARES..... ON Y EST PRESQUE
D' AILLEURS EN PARLANT DE PAUL McCARTNEY ECOUTEZ LE ICI DEMANDER AU MOINS UN JOUR VEGETARIEN POUR TOUS!!! 


source mais la suite est payante sur le site du monde
 CREDIT PHOTO 

L’homme en combinaison blanche est debout, un long couteau à la main. Autour de lui, dans le hangar, tout est carrelé de blanc. L’éclairage, assuré par des lampes à néon, est blanc lui aussi. Au plafond, le long des murs et au sol, circulent quantité de structures de métal dont le nom et la fonction échappent au profane. Sur les rails fixés au plafond, la chaîne se met bientôt en branle. Suspendus par une seule patte, tête au ras du sol, les bœufs défilent en rang serré devant l’homme en blanc. Certains, étourdis, semblent inertes ; d’autres s’agitent, cherchant à se redresser désespérément. Après une hésitation imperceptible – que l’on peut ignorer ou interpréter de mille façons –, le saigneur s’avance vers les énormes bestiaux. Il se penche vers la tête du premier et en tranche les jugulaires, dans un flot de sang épais et noir, avant de poursuivre son office.
Il est difficile de démêler les sentiments qui naissent du visionnage de cette séquence vidéo, dérobée par des militants de la cause animale dans un abattoir et publiée sur le Net, où elle a été consultée des centaines des milliers de fois.
D’où vient le trouble ? Pas seulement du spectacle de la mort, ni même de l’agonie de ces grands animaux secoués par une macabre danse de Saint-Guy. Il vient aussi de la rationalisation extrême et de la mécanisation de l’abattage, du cliquetis des machines qui se mêle aux mugissements des bêtes effrayées, et de la place infligée à l’homme dans ce dispositif – dont on ne sait plus trop lequel est le supplétif de l’autre.

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