lundi 31 mars 2014

CULTURE ESPAGNOLE, LES GALGOS

 

CE N' EST PAS SEULEMENT LA CORRIDA, MAIS AUSSI  LA MALTRAITANCE DES  GALGOS OU LEVRIERS ESPAGNOLS....

POUR CEUX QUI NE SAVENT PAS.....

SOURCE ET SUITE .....AVEC VIDEO

   Ces images de chiens attachés à un véhicule, forcés à le suivre sur une vingtaine de kilomètres pour les entraîner à courir, seuls trois députés espagnols ont pu les voir. Mercredi 12 mars, pas un de plus n'est venu à la présentation organisée spécialement pour les 350 membres du Congrès. C'est peu, très peu même, surtout quand l'on sait le surprenant succès rencontré à travers le pays avant ce rendez-vous avec ses représentants : 70 demandes de projection en deux mois, organisées spontanément par des salles de cinéma de Barcelone, Madrid, Séville, ou Valence, et des dizaines d'interviews pour Irene Blanquez, à l'initiative du projet.

D'ordinaire monteuse de films publicitaires, celle qui avec Febrero, el miedo de los galgos (« Février, la hantise des galgos ») signe son premier documentaire est pourtant ravie d'avoir pu accéder aux décideurs politiques, accompagnée de militants associatifs et de propositions pour enfin briser « le calvaire des lévriers espagnols », les galgos.
L'Espagne est l'un des seuls pays européens à autoriser, encore aujourd'hui, la chasse sans fusil. En 2004, l'Angleterre a finalement décidé de bannir la chasse à courre de son territoire, pourtant vieille de quatre siècles. En France, si la vénerie attire encore quelques milliers d'amateurs, une proposition de loi a été déposée en mai dernier pour la faire arrêter, et l'utilisation de lévriers est interdite depuis 1844.
L'Espagne se singularise par les modalités de sa pratique : dans les larges plaines caillouteuses de la moitié sud du pays, au cœur des communautés autonomes de Madrid, de Castille-La Manche ou d'Andalousie, la chasse au lièvre prend la forme d'une course entre chiens, lâchés dès qu'une proie apparaît à l'horizon. Selon Irene Blanquez, 190 000 chasseurs s'adonneraient encore aujourd'hui à un exercice populaire toujours très ancré dans les zones rurales SUITE

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