ACTION:PETITION POUR LES MOUTONS AU LIBAN

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Nous sommes désolés du contenu éprouvant de ce mail, mais votre aide est cruciale pour faire cesser les souffrances épouvantables qui se déroulent en ce moment même.

Les enquêteurs de CIWF ont récemment travaillé au Liban dans le cadre d'un projet plus large visant à documenter le commerce des animaux vivants exportés de l'Union européenne vers des pays hors de l'UE. Ils ont visité un abattoir soupçonné d’être non conforme, mais ils ne s'attendaient pas à tant de cruauté.

Presque toutes les règles régissant la manipulation des animaux lors de l'abattage fixées par l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) sont violées à l’abattoir public de Beyrouth dans le quartier de La Quarantaine.

Des animaux de tous pays, et en particulier des moutons et des bovins exportés vivants depuis l'Union européenne (France, République tchèque, Espagne), finissent leur vie ici.
Merci de nous aider à obtenir la fermeture de cet endroit épouvantable.

Nos enquêteurs sont encore sous le choc de ce qu'ils ont vu. Voici ce qui se passe dans cet abattoir. Je préfère vous avertir que ce que vous allez lire est très difficile.

Le sol est couvert de sang, d’excréments et de morceaux de cadavres. Les animaux sont manipulés brutalement, traînés par les pattes, les toisons et les orbites des yeux. Les ouvriers crient et battent les animaux tétanisés par la peur ou coincés. Les animaux terrifiés glissent sur le sol mouillé, leurs têtes heurtant le béton. Des moutons sont obligés de sauter par-dessus les cadavres. Les bovins sont laissés suspendus par une patte, conscients, pendant de longs moments.

Des moutons appeurés voient d'autres moutons abattus devant eux. Aidez-nous à arrêter cette cruauté

Si vous vous en sentez capable, merci de regarder et de partager notre enquête et surtout d’agir à nos côtés.

Chaque jour, cet abattoir fonctionne ; chaque jour, des animaux souffrent de façon inimaginable. Ce lieu ne devrait pas être autorisé à fonctionner alors qu'il méprise les normes internationales en matière d’abattage. CIWF a déposé plainte et demande à ce que l’abattoir public de Beyrouth soit fermé afin d'être mis aux normes et de former le personnel, en conformité avec les standards de l’OIE en matière d’abattage. Dès à présent, nous avons besoin de vous pour mettre fin à cette cruauté.