dimanche 27 octobre 2013

RODILHAN LE MASSACRE A PU AVOIR LIEU MALGRE 700 MANIFESTANTS. MERCI A EUX!!

SOURCE ET SUITE


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 LIRE LES COMMENTAIRES EST INSTRUCTIF ET... DESOLANT.
TANT D' AFICIONADOS!!
 JE SUIS CONVAINCUE QU' EN FRANCE LE MONDE CIVILISE S' ARRETE AU NIVEAU DE LA LOIRE.. AU SUD C' EST DEJA LA BARBARIE!!

Plus de 700 militants anti-corrida ont essayé d'empêcher les spectateurs de rejoindre les arènes de Rodhilan ce dimanche après-midi. En vain. Ils ont été repoussés par les forces de l'ordre qui ont dû faire usage de gaz lacrymogène.
A l'appel du Comité radicalement anti-corrida (Crac), d'Animaux en Péril et de la Fondation Brigitte Bardot, les défenseurs des animaux s'étaient massés en début d'après-midi près de barrières que la municipalité avait fait placer pour leur interdire un périmètre de 400 m autour de l'enceinte, quand CRS et gendarmes mobiles les ont fait reculer en dehors du village. Les forces de l'ordre ont dû faire usage de gaz lacrymogène pour repousser les manifestants. Ces derniers avaient allumé des fumigènes. Une dizaine d'entre eux a même reçu des soins auprès de la Croix Rouge qui avaient dépêché des membres sur place. Un manifestant aurait été interpellé.
Des incidents tout au long de la journée


Plusieurs incidents ont émaillé la journée avant l'entrée en piste des arènes du premier toro vers 15 heures. La piste avait dû être nettoyée dans la matinée car du verre pilé avait été répandu sur le sable. Le vendeur de chouchous, bien connu à Nîmes, a été pris à partie par des militants anti-corrida. Deux pneus de son véhicule ont été crevés. Des journalistes de France Bleu ont retrouvé leurs pneus dégonflés, d'autres ont vu leurs rétroviseurs retournés.
L'avocat pris à partie 
Alors qu'il tentait de franchir un barrage filtrant, Emmanuel Durand a été repéré par les militants anti-corrida à cause de sa cravate ornée de taureaux. L'avocat préside la corrida qui se déroule normalement jusqu'à présent. Cet aficionado a été entouré, aspergé de peinture rouge et insulté. "C'est lamentable, s'est-il insurgé. D'autant que les manifestants agissent dans l'illégalité puisqu'ils n'ont pas reposé de demande de manifestation après avoir été débouté par le tribunal administratif."
Le procureur sur place
Laure Beccuau, procureur de Nîmes, s'était rendue sur place dans la matinée. Plusieurs personnalités politiques étaient également présentes dont Daniel-Jean Valade, adjoint au maire de Nîmes chargé de la culture et de la tauromachie, la députée PS Françoise Dumas et Laurent Burgoa conseiller général UMP.

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