lundi 16 septembre 2013

LE BOUCHER VEGETARIEN




MIAM MIAM...


 L' ASPECT DE LA VIANDE, LE GOUT DE LA VIANDE SANS ETRE DE LA VIANDE..
 ET SURTOUT SANS UNE GOUTTE DE SOUFFRANCE ANIMALE!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 LIBEREZ LES ANIMAUX, DONNEZ LEUR UNE VIE!!


DEJA EN HOLLANDE,  EN ALLEMAGNE ET EN BELGIQUE LES 3 PHARES VEGETARIENS D' EUROPE!!  MAIS PT ETRE POUR LES PARISIENS BIENTOT....

POUR LES AUTRES........... VENTE EN LIGNE????

 SOURCE ET CREDIT PHOTO



La marque hollandaise de simili-carné qui fait fureur en Hollande, en Belgique ou en Allemagne, s’implantera prochainement en France. Son directeur export, Henk Pasveer, a répondu à mes questions.

« Le plus tôt nous nous installerons en France et de préférence à Paris, le mieux ça vaudra. Nous avons rendez-vous le 3 octobre avec une société française intéressée par l’ouverture d’une boutique et le contrôle de la distribution, de sorte qu’une implantation dans le premier semestre 2014 n’est pas à exclure », explique Henk Pasveer, le directeur export du Boucher Végétarien. Fondée voici trois ans par Jaap Korteweg, végé convaincu et époux d’une députée néerlandaise à la tête du Parti pour les Animaux, l’entreprise est déjà présente dans 1000 points de vente (entre supermarchés et boutiques bio), 500 en Hollande, le reste se répartissant entre d’autres pays comme l’Allemagne, la Belgique ou le Portugal. En Belgique, la chaîne de supermarchés et d’hypermarchés Delhaize distribue ses produits.

Pourquoi un tel engouement ? « Quand ils goûtent notre poulet, même les meilleurs chefs n’en reviennent pas, car il est meilleur que le vrai », assure Henk Pasveer. De la saucisse bio au lupin aux flocons de thon végétaux pour accompagner une salade, le secret de fabrication des 16 références (dont six 100% vegan) concoctées par le chef maison, Paul Bom, est mieux préservé que la recette du Coca-Cola. Fruit de recherches menées dans une université des Pays-Bas, il consiste à mettre sous pression une pâte obtenue, entre autres, à partir de graines de soja pour reproduire les fibres de la viande. Selon une dépêche AFP, le blanc de poulet 100% végétal est élaboré à partir de soja tandis que le bœuf comprend carottes, petits pois et pommes de terre. Le chiffre d’affaires 2013 devrait doubler par rapport à 2012. « Les perspectives sont illimitées, car nous recevons des demandes du monde entier », raconte Henk Pasveer.

Au Portugal, par exemple, depuis leur bureau de Lisbonne, Ivone Mesquita et son mari Nuno distribuent depuis quelque mois en ligne et auprès d’une trentaine de boutiques et de restaurants une gamme de 10 produits. « Ils sont bien meilleurs que le tofu ou le seitan et représentent une transition idéale vers le végétarisme », plaide cette flexitarienne de fraîche date. Dans ce pays, le fait de passer par un importateur (Ivone et Nuno ne sont que distributeurs) renchérit considérablement le coût de l’offre, mais ailleurs, le  blanc de poulet du Boucher Végétarien, la référence phare, « cotise » à peu près au même prix d’un poulet biologique, par exemple. 

En effet, la jeune multinationale sous-traite encore la production, mais envisage de se doter d’ici un an et demi de sa propre unité de fabrication pour diminuer ses prix. A priori, car ces calculs sont toujours extrêmement difficiles et sujets à caution, la planète et les animaux ne devraient pas s’en plaindre : l’empreinte écologique du hamburger maison est sept fois moindre que celle d’un vrai hamburger et le poulet n’a besoin que de la moitié à un tiers de ce qu’il faut pour produire un vrai poulet, certifient les responsables. Sans faire couler une seule goutte de sang.

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