dimanche 14 juillet 2013

CASOMORPHINE

 

 

 SOURCE

 
 
On n’a jamais considéré jusqu’à présent la casomorphine comme un problème allant de pair avec la consommation de lait animal puisque la publicité cultive sans cesse le mythe du lait.
« Je suis végétarien depuis 1985 mais je n’ai jamais réussi à me passer de fromage. Jusqu’à maintenant, j’ignorais que le fromage rendait dépendant, comme vous l’écrivez sur votre page.
Des opiacés ? Dans le fromage ?...
Où pourrais-je avoir plus d’informations s’il vous plait ? »

Il s’agirait donc de casomorphine dans des substances opiacées fortement présentes dans le lait et surtout dans le fromage. Ces substances provoqueraient une sécrétion de morphine dans le corps humain.

Les scientifiques Yunden Jinsmaaa et Masaaki Joshikawa du centre de recherche scientifique alimentaire de l’université de Kyoto au Japon, parlent justement de cela dans cet article : (http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0196978199000881)
Je vous recommande aussi le livre de Maria Rollingen – Mich besser nicht (Le lait : non merci) (http://www.amazon.de/gp/product/3940236004/ref=as_li_ss_tl?ie=UTF8&tag=vegane-beratung.com-21&linkCode=as2&camp=1638&creative=19454&creativeASIN=3940236004) – (non trouvable en français)
Les casomorphines sont des peptides qui apparaissent lorsqu’on consomme des protéines laitières. Quelques composants de cette substance peuvent avoir des effets analgésiques.
Ils calment donc les douleurs et influencent la tension artérielle et par conséquence, aussi l’état de santé général.
Ils sont absorbés intact et ont un effet similaire aux opiacés après s’être reliés à des récepteurs opioïdes spécifiques :
Ils freinent le péristaltisme intestinal ainsi que la sécrétion d’électrolytes et favorisent l’absorption d’électrolytes.

De plus en plus de médecins, qui ne sont pas forcément des partisans des végétaliens, font le rapport entre cancers et fromage.
Article de Claus Leitzmann et Markus Keller : alimentation végétarienne : http://www.amazon.de/gp/product/3825218686/ref=as_li_ss_tl?ie=UTF8&tag=vegane-beratung.com-21&linkCode=as2&camp=1638&creative=19454&creativeASIN=3825218686
 

 La seule chose qui soit bonne contre le cancer dans le lait et le fromage, c’est le calcium. Mais cette substance minérale est plus efficace quand elle est dans les légumes verts ou dans les herbes comme le brocoli, le persil car les plantes sont pauvres en phosphore, qui bloque l’absorption de calcium.
C’est surtout le fromage qui est riche en phosphore. C’est pour ça qu’il est absurde de dire qu’il nous apporte du calcium.
 

 Bien entendu, lorsqu’on veut vendre du fromage, on ne mentionne pas toutes ces substances opiacées que l’on absorbe lorsqu’on consomme des produits laitiers. Du coup, on loue paradoxalement sa contenance en calcium.
Ainsi beaucoup de personnes ignorent malheureusement ces conséquences négatives.
S’il y a de la morphine dans le lait animal (mais aussi humain), c’est pour créer et approfondir le lien entre l’enfant et la mère. Du coup la mère a un effet apaisant sur l’enfant.

En retirant la casomorphine de son alimentation, on peut avoir des sautes d’humeur qui font qu’il est difficile pour nous d’arrêter de manger du fromage car la casomorphine stimule la libération de morphine endogène.
Il faut donc plusieurs semaines avant que ces sautes d’humeur cessent et que l’envie de fromage disparaisse.
 

 

Casomorphine



Casomorphine sind ein bislang kaum bewusstes Problem, das mit dem Konsum tierischer Milch einhergeht, da uns die Werbung immer nur auf die guten Seiten der Milch aufmerksam macht.


"Ich lebe jetzt seit 1985 vegetarisch und bin immer am Käse gescheitert - bis eben wußte ich nicht, dass Käse süchtig macht, wie ihr hier auf eurer Seite schreibt.


Opiate? Im Käse? Bitte,wo kann ich mehr Infos bekommen?"
Es handelt sich bei den opiatähnlichen Stoffen, die Sie meinen, um Casomorphine, die in Milch, ganz besonders aber in Käse konzentriert vorkommen. Diese Stoffe bewirken wiederum eine Ausschüttung von Morphinen im menschlichen Körper.
Einen wissenschaftlichen Artikel zu genau diesem Thema finden sie
hier [öffnet sich in neuem Fenster] von Yunden Jinsmaaa und Masaaki Yoshikawa vom Research Institute For Food Science, Kyoto University, Japan.
Ich empfehle Ihnen auch das Buch "Milch besser nicht" von Maria Rollinger.
Casomorphine sind Peptide, die bei der Verdauung von Milchproteinen entstehen. Bestimmte Mitglieder dieser Stoffgruppe können analgetische Wirkung haben.
Sie wirken schmerzstillend und beeinflussen den Blutdruck und somit das allgemeine Befinden. Sie wirken bewusstseinsdämpfend.
Intakt absorbiert haben sie, nachdem sie an spezifische Opioidrezeptoren gebunden haben, eine den Opiaten ähnliche Wirkung:
Sie hemmen die Darmperistaltik, sowie die Sekretion von Elektrolyten, fördern jedoch auch die Absorption von Elektrolyten.
Käse wird auch von immer mehr konventionellen Medizinern, die nicht Befürworter der veganen Ernährung sind, in Verbindung mit Krebs gebracht.
Siehe auch: "Vegetarische Ernährung" von Claus Leitzmann und Markus Keller.
Das einzige krebsverhindernde in Milch und Käse ist Calcium - dieser Mineralstoff ist aber besser nutzbar aus grünem Gemüse und aus Kräutern wie vor allem Brokkoli und Petersilie, da Pflanzen ärmer an Phosphor sind, welches Calcium blockiert.
Vor allem Käse ist sehr reich an Phosphor, was Käse als geeigneten Calciumlieferanten absurd macht.
Natürlich erwähnt man keine opiatartigen Substanzen, die beim Konsum von Käse und (anderen) Milch(-produkten) freigesetzt werden, wenn man Käse verkaufen will; statt dessen lobt man paradoxerweise seinen Calciumgehalt.
Daher wissen die meisten Menschen leider nicht, dass es diese negative Auswirkung überhaupt gibt.
Morphine in tierischer (auch menschlicher) Milch dienen dazu, die Verbindung zwischen (Tier-)Kind und Mutter auszubauen und zu vertiefen. Vor allem aus diesem Grund wirkt Muttermilch beruhigend auf (Tier-)Kinder.
Ein Entzug von bovinen Morphinen, die die Ausschüttung körpereigener Morphine bewirken, ist daher mit Stimmungsschwankungen verbunden, die es schwer machen, "mit dem Käse aufzuhören".
Nach ein paar Wochen "Entzug" ist das aber überstanden und das Verlangen nach Käse bleibt aus.

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