samedi 11 mai 2013

ACTION: POUR LES PAUVRES COCHONS DE SEYSSEL, ENVOYER PAR EMAIL 3 COURRIERS DEJA REDIGES!!




SOURCE AVEC PHOTOS ET VIDÉO.

VOUS IMAGINEZ VIVRE SANS POUVOIR RESPIRER DANS DE LA M...E A LONGUEUR DE JOURNEE????


 ET N' IMAGINEZ PAS QUE C' EST LE SUR L' ÉLEVAGE DE CETTE NATURE, IL FAUT ALLER  VOIR SUR YOUTUBE  ET FAIRE DES RECHERCHES.. ET SURTOUT ARRÊTER DE MANGER CES PAUVRES BÊTES, C' EST LE SEUL MOYEN, CAR CES ÉLEVEURS NE PEUVENT PAS CHANGER!!!!!!!
 REVOIR LES PAGES DE L214 SUR LES COCHONS

LEUR RAPPORT SUR L' ÉLEVAGE


 LA LETTRE A ÉCRIRE TOUT EST PRÊT, C' EST FACILE!!!!!



Des animaux aux yeux rougis, couverts d’excréments, pataugeant dans plusieurs centimètres de déjections et d’urine où nagent des asticots, toussant dans un air saturé d’ammoniac derrière des barreaux rouillés…
Une situation inacceptable pour les associations L214 et Animal Cross, qui ont déposé une plainte commune contre un élevage porcin à Seyssel.
« Nous avons été alertés par un promeneur qui est tombé par hasard sur cet élevage, explique Sébastien Arsac, de l’association L214. Nous nous sommes renseignés puis avons alerté les services de l’État qui ont rapidement inspecté cette porcherie d’engraissement, avec un résultat accablant : une notation D : “Non-conformité majeure”, en août 2012. Malheureusement, l’élevage est toujours en fonction et, d’après nos informations, il n’y a pas eu de travaux majeurs pour améliorer les conditions de vie des animaux. C’est pour cela que nous avons décidé de porter l’affaire en justice. »
Un rapport accablantLe rapport de la Direction départementale de protection des populations (DDPP) qui évoque, un “bâtiment industriel vétuste”, un “système de ventilation mécanique défectueux”, “une forte odeur d’ammoniac”, une surdensité dans les loges et la “présence de trois porcs malades”, semble appuyer la plainte des deux associations. Contactée par nos soins, la DDPP ne souhaite pas s’exprimer sur le dossier pour lequel une procédure est en cours. L’État attend donc de l’éleveur qu’il fasse le nécessaire pour améliorer les conditions d’élevage.
Une visite impromptue de l’élevage fin mars, n’a pas permis de le constater, l’élevage étant en période de vide sanitaire (les porcs avaient été envoyés à l’abattoir). Une nouvelle inspection devrait être organisée dans les mois à venir.
« Nous espérons que notre plainte fera avancer les choses et que l’élevage ne pourra pas reprendre dans ces conditions » conclut Sébastien Arsac. L’éleveur, pour sa part, n’a pas donné suite à nos différentes sollicitations

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