mercredi 17 avril 2013

VIANDE DE CHEVAL LES TESTS CONTINUENT , BONNE NOUVELLE!!

SUITE AVEC VIDÉO

DATÉ D' HIER...



TOUJOURS EXCEPTION FRANCAISE..
 LA FRANCE TOUJOURS EN TETE LORSQUE' IL Y A UN MEGA SCANDALE!!
 JE CROIS QU' IL SERAIT  SAGE DE TOTELEMNT SUPPRIMER TTE PÉPARATION CONTENANT DE LA VIANDE POUR VOTRE SANTÉ EN PREMIER LIEU!!!
PAR ÉTHIQUE BIEN SUR AUSSI.
 NOUS SOMMES TOUJOURS PARMI LES PLUS NULS!!!
DE QUOI AVOIR VRAIMENT HONTE!!!!!!!!!!!!!!!!


La France est suivie par la Grèce (12,5% des 288 tests), la Lettonie (10% des 70 tests) et le Danemark (9,1% des 99 tests). En Grande-Bretagne et en Irlande, d'où le scandale était parti à la mi-janvier, aucun produit testé ne contenait de viande chevaline.
2250 tests lancés par Bruxelles

Le 15 février, en pleine affaire de la viande de cheval dans des plats préparés censés contenir du boeuf, Bruxelles avait lancé un plan prévoyant environ 2 250 tests ADN sur des plats préparés, des dépistages du phénylbutazone, un anti-inflammatoire nocif pour la santé, dans les carcasses de cheval. La Commission européenne a fait savoir mardi que moins de 5% de viande de cheval avait été décelée dans les produits testés. Et 0,6% de la viande chevaline contrôlée contenait du phénylbutazone.

Les résultats des tests seront discutés vendredi par le «Comité permanent de la chaîne alimentaire et de la santé animale», composé de représentants des Etats membres et présidé par un représentant de la Commission. De 10 à 150 tests étaient prévus dans chacun des pays de l'UE, en fonction de leur taille, tandis qu'un échantillon devait être prélevé par 50 tonnes de viande chevaline. L'opération était co-financée à 75% par la Commission européenne.

Concernant le phénylbutazone, «on réaffirme qu'il n'y a pas de danger immédiat dans l'Union européenne avec ce produit», a déclaré Frédéric Vincent, le porte-parole du commissaire européen en charge de la santé et de la consommation, Tonio Borg. Il a toutefois rappelé que ce produit restait «strictement interdit dans l'alimentation humaine».
Un cas de fraude alimentaire et non de santé alimentaire
Sollicitées par la Commission, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et l'Agence européenne des médicaments (EMA) avaient estimé lundi que l'exposition des consommateurs au phénylbutazone via l'alimentation était faible. «L'avis des deux agences montre qu'il n'y a pas d'inquiétude en tant que telle. Il faudrait manger des centaines de steaks hachés de cheval pendant des mois pour éventuellement avoir des problèmes avec le phénylbutazone», a déclaré Frédéric Vincent.

Le scandale de la viande de cheval a fait tâche d'huile en Europe depuis la découverte mi-janvier, en Irlande et en Grande-Bretagne, de hamburgers contenant de la viande chevaline. Il a provoqué le retrait de millions de plats préparés des rayons des supermarchés, dont les ventes ont par ailleurs chuté et ébranlé la confiance des consommateurs.

Les résultats des tests publiés mardi confirment qu'il s'agit d'un cas de fraude alimentaire, et non de santé alimentaire», a affirmé le commissaire européen en charge de la santé et de la consommation. Il a annoncé qu'il allait proposer aux Etats membres des «nouvelles mesures pour réduire les risques d'abus à l'avenir», dont des sanctions pécuniaires équivalentes au gain issu de la fraude.

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