jeudi 28 février 2013

SACRIFICE D' AGNEAUX POUR LA MAROQUINERIE

CE N' EST PAS RÉCENT MAIS JE DOUTE QUE CELA AIT CESSÉ..
 LA PEAU SI DOUCE UTLISÉE EN MAROQUINERIE VIENT DIRECTEMENT DU FOETUS DE L' ANIMAL, SOUVENT UN AGNEAU.
 IL PARAIT  QUE LES IMAGES SONT DURES, JE ME DOUTE QUE C' EST VRAI.



ELEVAGE INTENSIF EN FRANCE

SOURCE
 
Si l’élevage intensif est encore la norme en France, un sondage montre que les Français y sont majoritairement opposés.

L’élevage intensif, majoritaire en France

elevage-intensif-lapins
(© CC, L214)
Si plus d’un millier d’animaux sont tués à chaque seconde dans le monde pour la viande, d’autres chiffres font froid dans le dos, à commencer par celui-ci : plus de 80% de l’élevage en France sont intensifs. Ainsi :
  • 80% des poules pondeuses vivent en cage et ne voient jamais la lumière du jour,
  • 82% des poulets sont élevés en batterie,
  • 90% des cochons vivent enfermés dans des bâtiments en béton,
  • 99% des lapins sont élevés en batterie, sans litière.
Ainsi, loin du cliché du berger et son troupeau, l’élevage français est souvent synonyme d’effet de serre, de gaspillage, de risques sanitaires et de souffrance animale.

Des contrôles encore rares

porcs-elevage intensifSi la traçabilité de la viande est parfois limitée, les normes de protection animale, elles, sont globalement le cadet des soucis quand on examine les contrôles des élevages.
Les sanctions sont rares, donc l’animal reste un produit comme un autre.

90% des Français opposés à l’élevage intensif

elevage-intensif-cochons-02
(© CC, Farm Sanctuary)
Le paradoxe veut qu’un sondage montre que les Français sont globalement contre ces pratiques. L’étude, réalisée auprès d’un panel représentatif de la société en février 2013, montre que :
  • 84% des personnes interrogées pensent que le Salon International de l’Agriculture ne rend pas fidèlement compte des conditions d’élevage en France ,
  • 90% sont opposées aux élevages d’animaux dans des bâtiments confinés.

L’intensif, un modèle pourtant encouragé

Le sondage a été mené pour le compte de l’association L214, dont la porte-parole Brigitte Gothière commente sur le site : « Ce sondage ne fait que confirmer une évidence : la majorité des Français est opposée à l’élevage industriel pourtant pratiqué à 80% en France. Le gouvernement, loin d’en tenir compte, encourage ce modèle agricole et tolère les infractions à la réglementation avec une complaisance alarmante.«
> Suite : Une opposition ferme à un nouveau projet d’élevage intensif

DEUX ELEPHMATES SE RETROUVENT APRES 20 ANS DE SÉPARATION


LA VIANDE DANS VOS ASSIETTES....

SOURCE LE MONDE PLANETE28/02/2013  
En France, 80 % de la consommation de viande bovine vient de vaches réformées, c'est-à-dire menées à l'abattoir au terme de leur production laitière ou de leur fonction de reproductrices.
En France, 80 % de la consommation de viande bovine vient de vaches réformées, c'est-à-dire menées à l'abattoir au terme de leur production laitière ou de leur fonction de reproductrices. | AFP/FRANK PERRY

Derrière la fraude sur les plats préparés, celle des carcasses de viande ? La question est posée alors qu'un agriculteur de la Manche a accusé, mardi 26 février, l'abattoir Kermené (groupe Leclerc), dans les Côtes-d'Armor, d'avoir étiqueté en juillet 2012 "race à viande" deux carcasses qu'il avait vendues comme "race laitière".

Une "fraude" qui permet, selon l'agriculteur Yves Sauvaget, porte-parole de la Confédération paysanne lait pour la Manche et producteur de viande bio, de gagner jusqu'à 1 200 euros par bête, une race à viande étant vendue plus chère au consommateur qu'une race laitière. L'éleveur, qui possède un troupeau de 55 vaches laitières et 10 vaches à viande à Saint-Ovin (Manche), a alors dénoncé le "travail de sape fait par l'agroalimentaire" : "Nous, éleveurs, la traçabilité nous tient à cœur. On est rigoureux. Ça nous coûte de l'argent, et eux, ils cassent tout."
Le président du groupe Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, a immédiatement répliqué sur RTL : "Je démens, il n'y a absolument pas eu de tromperie, il n'y a pas eu de fraude, pas de surprofit. Sa viande a été achetée au prix du bio, a été transformée en steak bio, a été vendue comme bio, et ce n'était absolument pas marqué pour le consommateur race à viande pour de la race laitière."
Au-delà d'un contentieux pour l'instant irrésolu – tous deux assurent être en possession de "documents" prouvant leurs dires –, cette affaire interroge quant au type de viande que nous mangeons sous l'appelation de "bœuf" – quand il s'agit bien de bovins et non de cheval. Race à viande, race laitière, vache, jeune bovin, génisse : quelles sont les différences et comment sont-elles indiquées ?
  • Les mentions obligatoires d'étiquetage de la viande bovine : morceau, poids et prix
L'étiquette doit préciser le pays de naissance, le pays d'élevage et le pays d'abattage.
L'étiquette doit préciser le pays de naissance, le pays d'élevage et le pays d'abattage. | AFP/JEAN-PIERRE MULLER

Depuis le début des années 1990, plusieurs mentions sont imposées sur l'étiquette des viandes bovines par le code de la consommation : le nom du morceau (onglet, pavé, basse côte, faux filet, etc.), son poids, son prix au kg et son prix net, sa date d'emballage et sa date limite de consommation.
En 2000 et 2002, la règlementation européenne a imposé trois indications supplémentaires :
  1. L'origine de la viande. Si une seule origine est mentionnée, l'animal est né, a été élevé et abattu dans un même pays. Dans le cas contraire, l'étiquette doit préciser le pays de naissance, le pays d'élevage et le pays d'abattage.
  2. Le numéro d'agrément de l'abattoir, ainsi que le pays et le numéro d'agrément de l'établissement de découpe de la carcasse, afin d'identifier les établissements concernés.
  3. Le numéro de lot, qui permet de caractériser une pièce dans un lot de carcasses. S'il y a un problème, ce numéro permet de remonter très vite à la source.
  • Les mentions optionnelles : race et catégorie de bovin
Les étiquettes peuvent porter deux indications supplémentaires, optionnelles depuis 2002 après avoir été obligatoires en 1997 après la crise de la vache folle : le type de race et la catégorie de l'animal.
La dénomination "viande bovine" regroupe ainsi trois types de race différentes :
  1. Les races laitières : on compte ainsi 3,6 millions de vaches laitières en France fin 2011, principalement des Holstein, Normandes et Montbéliardes, sélectionnées pour leur importante production de lait (avec une moyenne de 7 000 litres par an).
  2. Les races à viande ou allaitantes. On en dénombre 4 millions, notamment des Charolaises, Limousines, Blondes d'Aquitaine, Aubrac ou Salers. Elles sont élevées pour donner des veaux qui seront engraissés avant de donner de la viande ou de devenir de jeunes bovins. Ce sont des bêtes à la plus faible production de lait mais au gabarit plus important.
  3. Les races mixtes. Ce sont des races laitières qui présentent de "bonnes caractéristiques bouchères", comme les Normandes et Montbéliardes.
Ces races comportent chacune plusieurs catégories d'animaux :
  1. Les génisses, des femelles n'ayant pas encore eu de veau (âgées de 12 à 30 mois).
  2. Les vaches réformées, c'est-à-dire des femelles arrivées au terme de leur production de lait ou de leur capacité de reproduction, qui vont être engraissées avant d'être menées à l'abattoir et consommées pour leur viande.
  3. Les jeunes bovins, mâles non castrés élevés jusqu'à 18 mois.
  4. Les bœufs, mâles adultes castrés.
  5. Les taureaux, mâles adultes non castrés.
  • La consommation française de viande bovine : essentiellement des vaches réformées

Sur les 1,6 million de tonnes-équivalent carcasse de viande bovine consommée en 2012 en France, 79 % venait de femelles (70 % de vaches et 9 % de génisses) et 21 % de mâles (13 % de jeunes bovins et taureaux et 8 % de bœufs), selon les chiffres de l'Institut de l'élevage. Notre steak haché ou rumsteak consiste donc essentiellement dans des vaches considérées comme "en fin de course" – puisqu'elles sont conduites à l'abattoir au terme de leur production laitière ou de leur fonction de reproductrices, c'est-à-dire au bout de 6 à 7 ans pour les premières et 7 à 10 ans pour les secondes – bien plus que des jeunes bovins ou bœufs, à la viande a priori de meilleure qualité.
Surtout, plus du tiers de cette consommation (35 %) vient de vaches laitières réformées, qui se retrouvent plutôt dans les produits de bas de gamme contrairement aux vaches allaitantes (65 %), issues de races sélectionnées pour faire de la viande.



"Le marché français est plus demandeur de vache dans la mesure où sa viande est plus rouge et moins claire que celle des jeunes bovins", explique Gérard You, chef du service économie des filières à l'Institut de l'élevage. Résultat : la France importe 373 000 tonnes de vache d'Allemagne et d'Irlande chaque année pour satisfaire une demande supérieure à sa production. A l'inverse, elle exporte 268 000 tonnes de jeunes bovins, essentiellement à destination de l'Italie, qui manque de bêtes pour faire tourner ses ateliers d'engraissage.
  • Des fraudes possibles faute de contrôles suffisants
Les contrôles ne sont pas systématiques à la sortie de l'abattoir ou lors de la transformation de la viande.
Les contrôles ne sont pas systématiques à la sortie de l'abattoir ou lors de la transformation de la viande. | AFP/FRANK PERRY

Actuellement, la vache allaitante est vendue en moyenne 4,30 euros le kilo à l'entrée à l'abattoir, contre 3,64 €/kg pour la vache laitière. Avec des carcasses pesant entre 300 et 400 kg, un surclassement de la race – le fait de faire passer une viande standard en une autre de meilleure qualité – peut mettre de dégager une plus-value de 400 euros par bête, calcule Gérard You. L'intérêt commercial d'une telle fraude existe donc, tant pour l'abattoir que les distributeurs.
La fraude est d'autant plus aisée que les contrôles sont loin d'être systématiques à la sortie des abattoirs. "Nous contrôlons 100 % des bovins sur pied avant et juste après l'abattage. Mais ensuite, la carcasse est découpée et traitée. Seule une très petite partie des lots est contrôlée à la sortie de l'abattoir et dans les commerces, par sondage, explique Laurent Lasne, du Syndicat national des inspecteurs en santé publique vétérinaire. Une fraude est donc possible dès lors qu'il s'agit de bénéficier d'une mention valorisante, comme des races plus nobles, des labels ou des appelations contrôlées."

LE MOUVEMENT 269

SOURCE

VOUS POUVEZ VOUS ABONNER LA NEWSLETTER
 TOUT LE TEXTE EST SUPER INTÉRESSANT A LIRE ET PRIMORDIAL
VOICI UN COURT EXTRAIT (suite sur la source ):

  ASSEZ PESSIMISTE, MAIS TRISTEMENT VRAI, LE GROS PROBLEME EST L' AUGMENTATION DE LA POPULATION, LES DÉSINTERET DES PERSONNES POUR LA CAUSE ANIMALE, L' EGOISME, LE MANQUE DE MOYENS FINANCIERS....
 BREF, ENTAMER OU CONTINUER UNE LUTTE POUR LE VEGETARISME SEMBLE ETRE UNE PERTE DE TEMPS. CECI DIT, POUR CEUX QUI VEULENT POUVOIR CONTINUER DE SE REGARDER DANS LA GLACE C' EST PRIMORDIAL, AINSI QUE PEUR CEUX QUI VEULENT DONNER UN SENS A LEUR EXISTENCE SUR CETTE TERRE. A VOUS DE VOIR QUEL CHOIX VOUS FAITES..


 In part one of this series, I spoke with a representative of the group 269 about their action on World Farm Animals Day, where they were branded with a hot iron with the number of an anonymous calf in an Israeli factory farm.
I was curious about how the group regarded the animal rights movement in Israel and the rest of the world, what tactics and strategies they felt were successful and which are not. What followed was a commentary that was more in-depth than could be digested in a single interview.
I am presenting this provocative and thoughtful response in its entirety, however, many readers will find it unpalatable and even antagonistic towards animal activists. Although it should go without saying, please note that the opinions shared are 269’s and not necessarily this blog’s or my own.

I’m very pessimistic about the chances of the animal rights movement to succeed. If you take into consideration just some of the parameters of the animal rights struggle’s condition and its enemy (almost all of the human race), you have to be pessimistic:






People are inherently selfish. The number of animals who are abused and killed is infinite.



 The Animal Holocaust occurs worldwide, in every culture, in every country. There are seven billion people in the world right now. Over the next few decades, this number will rise to around nine billion. 80 percent of the population is from undeveloped countries; in a few more decades this will rise to 87 percent. These populations are not open at all to the animal rights idea. Even the other 20 percent aren’t open to the idea, save a minimal percentage of them. 97 out of every 100 new people on the planet are currently born in developing countries. The life expectancy in undeveloped countries will rise in the future and their mortality rates will fall.


Many undeveloped countries will be industrialized in the next few decades, which means The Animal Holocaust is going to double or triple itself in numbers.
If we judge reality with our open, objective eyes, we come to the conclusion that the situation is worse than ever. We cannot win, especially not with the path we are taking. I’m not familiar with every detail of the animal rights movement in the rest of the world, besides a few similar parameters every animal rights activist I’ve talked to has told me, and that is that the vegan community in their country is very small, there are too few activists in general from the vegan community, and that most of the activists are speciesists, who prefer humans over animals.


In order to win the animal rights struggle, we need people who will fight, and we need to be stronger than the criminals


. As of today, we cannot force animal rights on the human population. There are too little of us, with too little money, and too much of them, with too many advanced technologies. So we need to convince them one way or the other to stop animal exploitation. But, we all know that we cannot convince seven billion people to stop enslaving animals out of their kindness, so in that front – we cannot win.
What we do have is just a bunch of people around the world, not too many, who care for animals, and need to think what can they do. Increasing awareness is no more than a nice way to expand this small circle, but it is sure not a solution to The Animal Holocaust. So we have to think outside the box, in order to beat the vicious enemy.
There are some examples of creative thinking that can lead to a better change in the animals’ condition. Some of them solve it from the root. Some of them can solve it quickly. Some of these ideas are illegal so I won’t write about them here (I’m not talking about ALF of course, it’s not a root solution and surely not a quick one. You can’t liberate 150 billion animals each year worldwide). Some of them are legal and we all should consider them.


For example: acting against human reproduction. It can be even more essential than convincing another meat eater to become vegan. It can also be very effective in underdeveloped countries.
Another way is promoting artificial meat research. I truly agree with David Pearce who said, “In vitro meat [is] perhaps our best hope of getting rid of factory farming everywhere by the middle of the century…I’d much rather everyone listened the moral argument and became vegan today. But we both know how hard it is to argue against moral apathy.”
These are just two examples in the legal pathway. My point is that anyone can find a much better way to achieve animal liberation earlier than by continuing in the failing way of approaching peoples’ kindness. If you appeal only to peoples’ kindness with ethical arguments, you won’t be able to convince many people to become vegan. Every animal rights group around the world includes arguments and campaigns about health, ecology, etc. in addition to the ethical arguments. So actually, by their actions, every animal rights group around the world agrees with me, whether they have the courage to admit it or not. I wouldn’t have a problem with making the world vegan by health reasons if it would succeed, but people don’t care about health, not in numbers that would make 95 percent of the world vegan, and not even 30 percent, but only a few percentage points at all, and only after a certain age (adults care more about health than teenagers).......suite

PETA POURQUOI ET COMMENT DEVENIR VÉGÉTARIEN

SOURCE  ET PLUS D' INFOS

Devenir végétarien :
Pourquoi ? Comment ?



Le kit du végétarien en herbe, c'est une mine d'informations sur le végétarisme.


Pourquoi devenir végétarien ? Le guide fait le point sur la question.
Comment bien s'alimenter pour être au top de sa forme ? Lisez vite ces pages !

Devenir végétarien n'a jamais été aussi facile...

Aujourd'hui, grandes surfaces et commerces spécialisés proposent une foule de produits pour réussir tous vos repas, des plus simples aux plus élaborés :

  • entrées et apéritifs : hoummous, caviar d'aubergines, pâtés végétaux, tacos, tortillas, crackers...
  • plats préparés : burgers végétaux, steaks de soja, galettes de céréales, nems végétariens, saucisses végétales, raviolis au tofu, au seitan ou aux légumes, sans parler de toutes les possibilités offertes par les légumes, céréales et légumineuses...
  • ingrédients savoureux et variés : crème et laits de soja, d'amandes, etc. ; sauces toutes prêtes ou à faire soi-même...
  • fromages (de soja) et desserts : yaourts et crème de soja aux fruits, à la vanille, au chocolat, à la noisette, sorbets...

Un végétarien ne mange aucun animal.

Un végétalien ne mange aucun produit d'origine animale (chair, lait, œufs, etc.).

Dans son acception générique, le terme « végétarisme » recouvre les deux sens.
Le monde végétal vous surprendra par sa diversité et vous découvrirez des saveurs oubliées ou insoupçonnées.

Et le plus beau reste à venir ! Plus il y aura de végétariens, plus l'éventail de produits couramment disponibles sera étendu, comme aux États-Unis, par exemple.




Savez-vous que la nourriture végétarienne n'est pas seulement délicieuse, mais aussi excellente pour la santé ?


Faire les bons choix alimentaires, c'est garder la ligne, prévenir les crises cardiaques et même faire régresser une maladie cardiovasculaire.
Plusieurs études l'ont montré, les végétariens ont un système immunitaire plus performant que les consommateurs de viande et un taux de cholestérol inférieur, et ils risquent beaucoup moins de mourir d'une maladie cardiovasculaire ou d'un cancer.
En outre, la consommation de viande et de produits laitiers contribue au développement du diabète, de l'arthrite, de l'ostéoporose, de l'athérosclérose (obstruction et épaississement des artères), de l'obésité, de l'asthme et de l'impuissance sexuelle.
Fruits, légumes, céréales et légumineuses sont nos meilleurs alliés !

Pour aider les animaux, rien de tel que le végétarisme.


Dans les élevages industriels, veaux, vaches, cochons, poules, dindes, canards et d'autres animaux encore vivent dans des cages surpeuplées, sans soins vétérinaires, sans exercice, sans jamais voir la lumière du soleil ou respirer l'air frais, privés même du simple contact de l'herbe sous leurs pieds.
Ces êtres qui vivent, respirent, pensent, éprouvent sensations et sentiments et nous ressemblent sur tant de points, souffrent et meurent par millions chaque jour en France simplement pour que nous ayons le plaisir de manger un steak ou une tranche de jambon. Bien souvent, ils sont encore conscients quand ils sont égorgés, dépecés ou ébouillantés.
Par nos choix alimentaires, nous pouvons refuser de contribuer à ces horreurs quotidiennes.

Devenir végétarien : Pourquoi ? Comment ?
En pleine forme !
Le visage de la viande
L'environnement
Femmes enceintes et enfants
La main à la pâte
Quelques conseils...

mercredi 27 février 2013

URGENCE BERGERS ALLEMANDS A ADOPTER

URGENCE POUR LES 3  BERGERS ALLEMANDS DE CETTE PAGE

POUR CEUX QUI AIMENT LES BERGER IL FAUT AIDER A LES SAUVER!!
LES ADOPTER OU TROUVER UNE FAMILLE D' ACCUEIL CE QUI EST PLUS FACILE PEUT ETRE??


URGENCE !!! EUTHANASIES LE 28.02.2013

Mis à jour : il y a 14 heures
TRÈS GROSSE URGENCE !!! Suite à une fermeture de fourrière, plusieurs chiens sont en danger ...une dizaine de chiens ont pu être sauvé, il reste 3 CHIENS EN URGENCE EUTHANASIE DEMAIN 28 02 13 !!! Il faut les sauver !!!! Merci de votre aide à tous ....ASSO ADOPTANT FA, faites vous connaitre ! merci

PÉTITION POUR LES CHEVAUX SAUVAGES USA

The Bureau of Land Management (BLM) is refusing to work with a community near Carson City, Nevada to keep a locally revered herd of mustangs wild and free. Time is running out for these horses -- the BLM could begin trapping them as early as this afternoon. They need your help now!
Here's what's going on:

The mustang family (pictured) travels between federal land in the Pine Nut Herd Management Area (HMA) and a rural area outside Carson City. The horses have lived in this area for at least 40 years. Originally the band had 50 members, but it is down to just six at present, thanks to BLM's heartless capture and removal policies.
Local residents -- including government officials -- have come to love this wild horse family and have pleaded with the BLM to work with them on a plan that will keep the remaining horses wild and free.
Please take a moment and tell BLM bosses in Washington to work with this community and leave the wild horses where they are.
On Friday, AWHPC urged the agency to build a fence to keep the horses in question on their designated range, offering to cover the costs if necessary. Although the BLM regularly builds fencing for livestock, the agency is refusing to build a fence for these wild horses. The BLM has also rejected other solutions offered by the local community to keep the horses safe and free on the range.
On Monday, the BLM announced that it will proceed with the immediate removal of the horses, rejecting offers from neighbors, local officials and wild horse advocacy groups to work together to save the Deer Run herd.
“We are heartbroken that our government will not work with us on a solution for these beautiful wild horses who are cherished by our community,” said Annie Jantzen, a local resident. “This is a heartless move by the federal government, which is thumbing its nose at local leaders, our community and the American taxpayers, who continue to pay as the BLM removes more and more horses from the range, while ignoring real solutions to keep them on our public lands.”



Thanks,
- The AWHPC Team

UN PEU D' ESPOIR POUR LES TRUIES.... A SUIVRE CE N' EST PAS ENCORE FAIT.

Enquête : le « bien-être animal », nouvelle épine dans le pied des éleveurs

Les Echos n° 21382 du 22 Février 2013 • page 1

La Commission européenne veut obliger la France à respecter les nouvelles règles sur le bien-être des truies.

AGRICULTURE : Alors que s'ouvre le 50e Salon de l'agriculture à Paris, sur fond de crise de confiance des consommateurs, un sujet inattendu vient de s'inviter dans l'actualité. Bruxelles a adressé hier un avertissement à une dizaine de pays, dont la France, pour qu'ils se conforment au plus vite à une directive protégeant les truies durant leur période de gestation. Près de 30 % des éleveurs français ne respectaient pas ces normes début 2013. Souvent en situation précaire, ces derniers n'ont pas tous les moyens d'investir pour répondre aux exigences des textes communautaires.

DU CHEVAL CHEZ WILLIAM SAURIN

De la viande de cheval a été détectée dans plusieurs boites de raviolis en conserve de la marque Panzani, fabriqués par William Saurin, a indiqué l'entreprise espagnole de pâtes dans un communiqué, mardi 26 février.
Selon le magazine professionnel spécialisé dans la distribution LSA, Panzani, qui appartient au groupe espagnol Ebro, avait confié depuis treize ans la fabrication de ses raviolis au groupe français William Saurin, propriété de Financière Turenne Lafayette. William Saurin a été "victime d'une tromperie par un de ses fournisseurs", affirme le magazine.
Selon LSA, Panzani a immédiatement demandé à William Saurin de retirer du marché les raviolis concernés et de rembourser les consommateurs trompés. Des tests ADN ont par ailleurs été diligentés par la société espagnole, qui affirme "ne pas acheter de viande d'origine roumaine". La principale filière d'incorporation frauduleuse de viande de cheval dans des plats préparés, jusqu'ici mise au jour, utilisait de la viande roumaine.

ACTION 269 AU SALON DE L' AGRICULTURE


IL Y A QUELQUES JOURS
BRAVO!!

ETRE V,GÉTARIEN, DOCUMENTS GRATUITS A TÉLÉCHARGER

SOURCE
 UN LIEN A CONSERVER ET PARTAGER!!

Les documents proposés en téléchargement sur ce blog ont tous été analysés avec l'une des meilleures suites de sécurité du marché. Ils ont été trouvés exempts de virus, cheval de Troie ou autre saleté du même genre.
Pour pouvoir lire et télécharger ces documents, votre ordinateur doit être équipé d'une version récente d'Adobe Reader. Si ce n'est pas le cas, cliquez sur le lien suivant pour télécharger Adobe Reader 11.0 link

Le temps d'ouverture du fichier le plus lourd (TEXTE) est fonction de la puissance de votre ordinateur, ainsi que de votre navigateur. C'est presque instantané avec un équipement récent en connexion filaire ADSL ; tandis que cela peut demander une minute avec un notebook équipé d'une clé 3G.
Il est conseillé de fermer les autres applications avant ouverture.
Cliquer sur les liens ci-dessous pour ouvrir


COUVERTURE Être végétarien.web COUVERTURE Être végétarien.web
Fichier PDF - 1,19 Mo

4ème de couverture Être végétarien-copie-1 4ème de couverture Être végétarien
Fichier PDF - 43 Ko


TEXTE Être végétarien, le bon choix.web - 6ème-copie-1 TEXTE Être végétarien, le bon choix.web
Fichier PDF - 4,43 Mo
6ème édition revue et corrigée au 14/1/2013
245 pages, 61 illustrations couleur

BABY ET NEPAL ENCORE L' ATTENTE MAIS SURSIS

SOURCE
27 FÉVRIER....SUITE SUR LE LIEN ( CONSEIL D' ÉTAT)

L’essentiel
  • Le 21 décembre 2012, le juge des référés du tribunal administratif de Lyon avait rejeté la demande de suspension de l’arrêté préfectoral ordonnant l’abattage des deux éléphants. Les propriétaires ont saisi le Conseil d’État d’un pourvoi en cassation contre l’ordonnance du juge des référés.
  • Le Conseil d’État casse l’ordonnance du juge des référés qui avait estimé à tort que la condition d’urgence n’était pas remplie. Il s’agit d’une des deux conditions requises pour que la suspension d’un acte puisse être prononcée.
  • Après cassation, le Conseil d’État suspend l’exécution de l’arrêté en raison de doutes sérieux, en l’état de l’instruction, sur sa légalité.
  • Les deux éléphantes ne pourront donc pas être abattues dans l’attente du jugement par lequel le tribunal administratif de Lyon tranchera la question de savoir si l’arrêté préfectoral est légal ou non.
1. Les faits et la procédure
Le 11 décembre 2012, le préfet du Rhône a pris, sur le fondement des dispositions de l’article L. 223-8 du code rural et de la pêche maritime (possibilité d’intervenir en cas de suspicion de contamination d’un animal par certaines maladies contagieuses), un arrêté relatif à deux éléphants confiés au parc animalier de la Tête d’Or, suspectés de contamination par le bacille de la tuberculose. Cet arrêté prescrivait, dans l’immédiat, des précautions renforcées pour éviter toute contamination et, dans un délai d’un mois, l’abattage des animaux. Un arrêté modificatif avait par la suite porté à 70 jours le délai d’abattage.
La société Promogil, propriétaire des animaux, a demandé l’annulation de cet arrêté. Elle a également formé un référé tendant à la suspension de l’exécution de cet arrêté dans l’attente de l’intervention du jugement au fond. La suspension peut être accordée si le juge constate une situation d’urgence et estime qu’il existe un doute sérieux sur la légalité de la mesure.
Le 21 décembre 2012, le juge des référés du tribunal administratif de Lyon a rejeté sa demande de suspension en estimant que la condition d’urgence n’était pas remplie.
Le Conseil d’État était saisi d’un pourvoi en cassation contre l’ordonnance du juge des référés. La demande d’annulation de l’arrêté est toujours pendante devant le tribunal administratif de Lyon.
2. La décision du Conseil d’État
Le Conseil d’État commence par annuler l’ordonnance du juge des référés pour erreur de droit en ce qui concerne l’application de la condition d’urgence. Le juge des référés avait en effet omis de s’interroger, pour apprécier cette condition, sur l’efficacité des mesures d’isolement des animaux et de protection des soigneurs pour assurer la sécurité sanitaire dans l’attente du jugement de fond par le tribunal administratif sans abattre les éléphants.
Après cassation, le Conseil d’État estime que la condition d’urgence est remplie. Il relève en effet que l’exécution de la mesure d’abattage entraînerait pour la société Promogil des préjudices économiques et moraux irréversibles, tandis qu’il n’est pas démontré que des mesures autres que l’abattage ne seraient pas efficaces pour protéger la santé publique dans le délai relativement bref restant à attendre avant le jugement au fond.
Il estime ensuite que deux doutes sérieux pèsent, en l’état de l’instruction, sur la légalité des mesures prescrivant l’abattage des animaux.
D’abord, alors que la loi interdit en principe que de telles mesures interviennent sans que la personne intéressée ait pu au préalable faire valoir ses observations, l’arrêté litigieux aurait été pris sans procédure contradictoire avec la société Promogil.
Ensuite, si le code rural et de la pêche maritime justifie l’intervention du préfet à l’égard d’animaux qui, ayant cohabité avec d’autres animaux malades, sont présumés contaminés, il lui laisse le choix entre diverses mesures sanitaires. Or compte tenu de l’ancienneté et du caractère peu probant des tests réalisés auparavant sur les éléphants, de la possibilité technique d’effectuer des examens complémentaires, de l’efficacité des autres mesures prises, qui peuvent être maintenues ou renforcées, et à l’intérêt qui s’attache à la préservation, dans une mesure compatible avec la prévention des risques pour la santé publique, d’une espèce rare et protégée, il existe, à ce stade de la procédure, un doute sérieux quant au caractère proportionné du choix de la mesure d’abattage.
En conséquence, le Conseil d’État suspend l’exécution de la mesure d’abattage jusqu’à l’intervention du jugement au fond.
3. Les suites de la procédure
La décision du Conseil d’État est une décision provisoire, rendue dans l’urgence et en l’état de l’instruction, qui interdit l’exécution de la mesure d’abattage jusqu’à l’intervention du jugement au fond.
Il reviendra ensuite au tribunal administratif de Lyon d’examiner, au terme d’une instruction approfondie du dossier, si la mesure d’abattage est légale ou non.
Si le tribunal administratif rejette la requête de la société Promogil, la mesure d’abattage pourra être exécutée.
Si le tribunal administratif annule l’arrêté, les conséquences de cette annulation dépendront du motif de l’annulation. Si c’est un problème de procédure qui la justifie, l’administration pourra reprendre la même mesure en respectant, cette fois, la procédure légale. Si, en revanche, le tribunal administratif estime la mesure d’abattage disproportionnée, son jugement fera obstacle à ce que le préfet reprenne la même mesure.

ACTION: PÉTITIONS POUR LES CHAMEAUX



TONY ZADEL  UNE CONNAISSANCE DE FACEBOOK, MENE UN COMBAT CONTRE LA MALTRAITANCE DES ANIMAUX...
SA PAGE FACEBOOK ...QUE JE VOUS RECOMMANDE DE VISITER CHAQUE JOUR, CAR C' EST  UNE SOURCE IMPORTANTE D' ACTES DE MALTRAITANCE  DONT VOUS N' AVEZ SANS DOUTE PAS IDÉE... LE TOUT AVEC DES PÉTITIONS A SIGNER

AUSSI!!

 HIER TONY A  PRÉPARÉ CETTE LISTE DE 12 PÉTITIONS A SIGNER

 SUR CETTE PAGE ICI  (SOURCE PHOTO) OU VOUS POURREZ AUSSI LIRE QUELQUES TÉMOIGNAGES ET AVOIR PLUS D' INFORMATIONS...


IL S' AGIT DES CRUAUTÉS ENVERS LES CHAMEAUX ET DROMADAIRES  , LEUR TRANSPORT,  LES COMBATS DE CHAMEAUX, LES TIRS DEPUIS DES HÉLICOPTERES, LEUR ABATTAGE...


mardi 26 février 2013

TRANSPORT INHUMAIN DU BÉTAIL DE PAR LE MONDE

PENDANT MES RECHERCHES GOOGLE SUR LES BOVINS JE TOMBE SUE CET ARTICLE DE 2012 OU  DES MILLIERS DE JEUNES VACHES ONT ÉTÉ BLOQUÉES AU PORT  DU CAIRE VENANT D' AUSTRALIE!!!! RAPPEL D'UN BLOCAGE SIMILAIRE DE DÉCHARGEMENT DE MOUTONS VENANT AUSSI D' AUSTRALIE .
 CES  INTERDICTIONS DE DÉBARQUEMENT POUR RAISONS DITES SANITAIRES ME  SEMBLENT  ETRE N' IMPORTE QUOI!!(voir surligné rouge)

 SOURCE  UN SITE VEGAN

Posted on September 2, 2012



Yesterday (1st September), a news item was posted on bikyamasr.com titled ‘Over 30,000 baby cows stranded in Egypt face death’.
‘… CAIRO: An estimated 32,000 baby cows are currently stranded at an Egyptian port after arriving on their long journey from Australia. The ministry of agriculture and the Veterinary Public Quarantine have said they have been at the Ain Sokhna port for 6 weeks after they arrived from Australia.
The ministry argued that they are under quarantine after fears they were given cancerous treatments before being loaded onto a vessel that took them from Australia to Egypt, where they are to be slaughtered.
The ministry has said it has yet to determine the fate of the animals and they have remained on board the ships in what animal rights groups have told Bikyamasr.com are “horrendous and inhumane” conditions.
Live export from Australia to the Islamic world is a controversial practice that sees thousands of animals crammed into small crates and transported by sea to their destination to be slaughtered for food.
According to the ministry, tests are continuing to learn more about the potential carcinogen that had been given to the animals before they would be unloaded. Tests have reportedly been ongoing for the past month at a private lab in Egypt, but no results have been conclusive.
According to a al-Shorouk newspaper report, the animals are likely to remain in their confinement for a number of weeks more in order for further tests to take place.
Earlier this year, some 3,000 cattle died on a ship destined for Egypt after the Egyptian government refused to allow the ship to dock at a Red Sea port.
Animals Australia, the leading organization reporting on the controversial live export trade to the Middle East and Southeast Asia, said the incident was among the worst the industry had witnessed in years.
Animals Australia’s Campaign Director, Lyn White, said in a statement to Bikyamasr.com that the ship was anchored at sea after being refused port in a number of countries, including Egypt, where the cattle were supposed to be offloaded.
It’s understood that ventilation problems on the converted livestock vessel, the MV Gracia Del Mar, had caused the deaths of more than half of the animals on board since the ship left South America for Egypt a few weeks ago. The ship was anchored in the Red Sea for weeks and saw more animals perish as a result.
“This is nothing short of an animal welfare disaster. If remaining cattle are not offloaded more of these animals will suffer appalling deaths at sea. We are appealing to authorities in Egypt to offload the remaining cattle at al-Sohkna, as was originally intended.

This disaster is just another example of the inherent risks of transporting animals by sea. It was only nine years ago that 5,000 Australian sheep perished on board the MV Cormo Express after country after country refused to allow it to berth.
“And this isn’t the first time that mechanical issues have caused mass deaths on live export ships. We only need to look to the breakdown of the Al Messilah in Adelaide last year. Had that vessel broken down on the open ocean it would have caused a similar welfare catastrophe — as thousands of animals would have died.
“Australia also exports cattle to Al Sohkna Livestock company in Egypt. Whilst we have an MoU with Egypt which should ensure the offloading of our animals, it has never been put to the test. The Egyptians thus far have flatly refused to allow the MV Gracia Del Mar to dock despite the mass suffering of the animals on board.
“If they continue to refuse to allow the surviving animals to be unloaded it would provide little confidence that the non-binding agreement with Australia would be honoured if a similar incident were to occur on an Australian livestock ship.
“It should not matter if these cattle aren’t Australian and if Brazil doesn’t have a similar piece of paper, they should not be abandoned to suffer and die at sea. We are appealing to Egyptian authorities to offload these cattle as a matter of urgency.”
Australia’s live sheep exports have fallen significantly over the past decade.
In 2010, three million sheep were exported compared with 6.3 million in 2001.
Australia’s government last year was to see a bill that would have banned live export to the world, but industry lobbyists fought back and forced the legislation off the table in a move that angered animal activists in the country and across the world, notably the Islamic world, which receives the lion’s share of live cattle and sheep from both Australia and Brazil …’
Read the item, view image and add your comment online at www.bikyamasr.com/76605/over-30000-baby-cows-stranded-in-egypt-face-death/
[Vegans say abandon the exploitation, abuse and slaughter of all animals, and abandon the production and consumption of all animal products.]
.

32 000 VACHES DISNEY STYLE


 SOURCE ET VIDÉO SUR LE LIEN
Fair Oaks Farms Adventure Center – America’s Heartland
On our travels throughout the heartland we’ve visited small farms, big farms, and really big farms. But there are some that, in size anyway, simply defy classification.
The farm is 25,000 acres big, Milks 32,000 cows a day and produces enough milk for the city of Chicago and Indianapolis. The image is not from Fair Oaks Farms.

80 NAISSANCES DE VEAUX PAR JOUR.  SUFFISAMMENT DE LAIT POUR  LES VILLES DE CHICAGO ET  D' INDIANAPOLIS..  SANS UN BRIN D' HERBE IL ME SEMBLE

POUR MOI C' EST UNE ABERRATION BIEN SUR!!!
VOULONS NOUS UNE FERME SIMILAIRE EN FRANCE??
 NOVISSEN ET L214  SE MOBILISENT CONTRE LA FERME DES 1000 VACHES A ABBEVILLE
 MANIFESTATION A PARIS DANS QUELQUES JOURS

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES SUR L214:

Voici les résultats d'un sondage OpinionWay réalisé pour L214 les 20 et 21 février sur un échantillon représentatif de la population1 :
  • 90% des personnes interrogées sont défavorables aux élevages qui concentrent les animaux dans des bâtiments fermés sans leur laisser d'accès à l'extérieur ;
  • 91% de ces personnes sont opposées à l'installation d'un élevage de 1000 vaches en projet dans la Somme ;
  • 84% pensent que le Salon de l'agriculture ne rend pas compte fidèlement des conditions d'élevage en France.
  • A Paris, le dimanche 3 mars, l'association L214, le comité Novissen qui s'oppose au projet des « 1000 vaches » ainsi que de nombreuses associations de protection animale ou environnementale se rendront aux portes du Salon de l'agriculture pour dénoncer la dérive de l'élevage et ses conséquences pour les animaux, les humains et la planète.
    Départ de la manifestation : 13h Gare Montparnasse
    Prises de parole : à partir de 15h30 devant le Salon de l'agriculture, porte de Versailles.

LA FERME DES 32 000 VACHES DE L' INDIANA USA


PÉTITIONS DU SOIR


PAS EU BEAUCOUP DE TEMPS AUJOURD' HUI, CE SERA TOUT POUR CE SOIR... MAIS DEMAIN CE SERA MIEUX!!!

 

JUSTICE !!

 3 BLEUES POUR LES CHIENS, LE PROJET PINDER DE CIRQUE, LIE DE VIN...,


JUSTICE!!





CE N' EST PAS UN JEU LA BATAILLE NAVALE...

....................ENTRE LE SEA SHEPERD ET LE BALEINIER JAPONAIS....
 
 
 

ILS ONT VRAIMENT ENVIE DE TUER CES SALES JAPONAIS..
 HEUREUSEMENT ILS ONT FUKUSHIMA QUI VA REMETTRE LES MONTRES A L' HEURE.
 DES SAISONS DE CHASSE A LA BALEINE ILS N' EN AURONT PT ÊTRE PLUS TANT QUE CELA!!!!!

MYTHE DES PROTEINES.. ET EXCES DE PROTEINES ET OSTEOPOROSE

 

SOURCE

Le mythe de la carence en protéines

Il s’agit d’un mythe que des nutritionnistes ne possédant qu’une connaissance superficielle et purement théorique de l’alimentation végétarienne répandent encore malheureusement. C’est la raison pour laquelle l’on trouve encore aujourd’hui dans de nombreux livres des listes de mélanges de protéines végétales complémentaires à respecter par les végétariens, en vue de remplacer efficacement les protéines animales. Ce concept est encore plus profondément ancré que le mythe de la richesse en fer des épinards.

Genèse du mythe

Le mythe vit le jour avec la publication d’une liste de mélanges de protéines complémentaires par Frances Moore Lappe. Elle écrivit en 1971 le célèbre et très remarqué livre « Régime pour une petite planète » . L’auteur a depuis longtemps admis son erreur et l’a corrigée dans la deuxième édition de 1976 de son ouvrage. Voici le point de vue de Mme Lappe :
« J’ai souligné en 1971 l’importance de la supplémentation en protéines. J’ai supposé que seul un judicieux mélange de protéines végétales, les rendant aussi bien assimilables que des protéines animales, pouvait amener suffisamment de protéines à l’organisme, et en évitant par la même occasion un excès de calories. Pour combattre le mythe de la viande unique fournisseur de protéines de haute qualité, j’ai créé un autre mythe. J’ai donné l’impression qu’il fallait choisir soigneusement ses aliments, lors d’un régime sans viande, pour l’obtention de protéines en quantité suffisante. En réalité, tout est beaucoup plus simple. »
La science est et reste ce que l’un recopie de l’autre.
Eugen Roth ( 1895-1967 )
écrivain allemand
Actuellement la doctrine traditionnelle est moins rigide et concède que l’apport de mélanges de protéines peut se répartir sur plusieurs jours. Il n’est dès lors pas nécessaire de veiller à une combinaison optimale à chaque repas. Bien que l’ « Association Américaine de Diététique » ait déjà spécifié cela dans son communiqué en 1988, ce nouveau concept se répand très lentement. Quelle personne mangerait uniquement des légumes, des céréales ou même une seule sorte de fruit sur une période prolongée ? En mangeant de façon variée et en quantité suffisante, il est quasi impossible de manquer d’une sorte d’acide aminé. Tout un chacun devrait varier son alimentation.
Alors qu’elle s’évertuait à combiner les protéines végétales de telle façon qu’elles correspondent le plus possible aux animales, Frances Moore Lappe a malheureusement été trompée par les lobbies des produits d’origine animale. Déjà en 1959 l’on pouvait lire dans l’éditorial de la réputée revue médicale spécialisée « The Lancet » :« La protéine d’origine végétale était considérée autrefois comme une substance de second rang et de qualité médiocre par rapport à la protéine animale. Cette discrimination fut entre-temps abolie.»
Ce concept devint plus tard encore plus évident. Voici comment s’exprima le célèbre chercheur en nutrition lors de sa conférence au début des années 80, à l’occasion de la rencontre annuelle de la Société Américaine pour le Progrès des Sciences :
« Laissez-moi encore une fois faire observer qu’il est très difficile de composer des repas répondant aux besoins en calories d’un adulte actif qui soient déficients en protéines, même lors d’expériences visant ce déficit.»

Origine de la croyance en la supériorité des protéines animales sur les végétales

Teneur en pour-cent des acides aminés essentiels par rapport au total des protéines
( conformément au tableau des substances vitales de H.A. Schweigart et G. Quellmalz )
Muscle bovinLégumes verts
Lysine
7,05
4,96
Tryptophane
1,13
1,65
Phenylalanine
4,26
3,91
Méthionine
2,87
2,00
Thréonine
4,00
3,57
Leucine
6,70
9,58
Isoleucine
7,48
4,69
Valine
5,04
5,21
Total
36,53
35,57
Les livres regorgent de listes concernant la valeur biologique des différentes espèces de protéines. Par ailleurs, l’œuf se trouve chaque fois en tête de liste, suivi des autres produits alimentaires d’origine animale. Quelle est l’origine de cette liste ?
Deux scientifiques ( Osborn et Mendel ) ont procédé en 1914 à des expériences nutritionnelles sur des rats. A cette occasion, ils ont constaté que les protéines d’œuf augmentaient le plus rapidement leur poids ( suivent les autres protéines animales ). Ils surévaluèrent ce résultat comme il était coutume en ce temps-là. Ainsi en est-on arrivé à considérer la protéine d’œuf comme la meilleure. Bien que les conclusions d’une telle expérimentation n’aient évidemment aucune répercussion sur l’effet salutaire des protéines concernant les rats ( et encore moins en ce qui concerne les êtres humains ), elles constituèrent la base de toutes les futures tabelles d’équivalents protéiques.
Les expériences nutritionnelles reprirent toutefois et furent complétées. Elles arrivèrent à la conclusion que l’espérance de vie des rats nourris aux protéines végétales était significativement plus grande. Les valeurs biologiques attribuées aux différentes protéines ne correspondent donc pas à leur effet bénéfique sur la santé de l’organisme. Elles indiquent, dans le meilleur des cas, que l’on doit consommer moins d’un aliment donné que d’un autre pour atteindre la même quantité de masse corporelle. Il est aisé de le démontrer : L’être humain étant un animal de chair et de sang, les protéines animales lui correspondent donc davantage. Ces dernières jouissent en effet d’une composition optimale, lorsqu’il s’agit d’augmenter la masse corporelle au plus vite. Il est cependant évident que ce concept est à revoir :
1. La surcharge pondérale ne représente plus de nos jours un but enviable et salutaire.
2. L’être humain n’étant pas un authentique carnassier ( comme par exemple un félin ), un mécanisme efficace d’élimination de quantités importantes de protéines excédentaires lui fait défaut.
L’on prête actuellement peu d’attention à ce défaut d’élimination, malgré des conséquences néfastes.
Le Professeur Lothar Wendt a donné déjà en 1948 des conférences traitant de ce problème particulier. Il n’a toutefois pas pu imposer son point de vue face au concept qui prévalait à cette époque, c’est-à-dire que l’organisme humain brûlait les protéines excédentaires en totalité, puisqu’il était incapable de les stocker. Depuis que la maladie de la vache folle et celle de Creutzfeldt-Jakob sont connues du grand public, l’on sait que des dépôts de protéines peuvent être trouvés dans le corps : preuve en est la découverte des prions ( des protéines ) dans le cerveau des bovins malades.
Les protéines assument un grand nombre de fonctions et sont indispensables à l’organisme. En effet, les enzymes sont des protéines ! Ne pas manquer de protéines était de ce fait une préoccupation majeure. L’on ne prêtait aucune attention à l’excès de protéines, dès lors qu’il ne représentait pas un aussi grand problème au cours de l’après-guerre.

Il était donc naturel que l’on prit soin de consommer la plus grande quantité possible de protéines. De nombreux scientifiques et nutritionnistes continuèrent malheureusement à adhérer à ce concept, dans une société jouissant d’une surabondance de protéines.
La valeur biologique d’une protéine s’exprime en pour-cent. Elle se définit comme la proportion des 100 grammes de protéines ingérées qui sont retenues par l’organisme. Exemple de l’œuf : valeur biologique = 94%, c’est-à-dire que 94 g de protéines sont retenues par l’organisme à partir des 100 g de protéines d’œuf de poule ingérées.
Les problèmes dûs à un excès protéique sont en constante augmentation. Un des exemples les plus connus est l’ostéoporose : Dans les pays grands consommateurs de produits riches en protéines animales ( viande, lait, œufs ), cette maladie est une vraie plaie. Malgré cela, l’on continue de recommander la consommation de produits laitiers pour prévenir l’ostéoporose. De nombreuses études confirment cependant sans équivoque que l’excès de protéines dans le corps favorise l’ostéoporose, car l’organisme est alors obligé de prendre du calcium des os pour éviter une suracidification du corps.
La capacité du rein à éliminer les protéines alimentaires excédentaires est très limitée. Il existe ainsi un excès constant de protéines dans l’organisme. L’insuffisance rénale apparaît beaucoup plus fréquemment lors d’une importante consommation de protéines que lors d’une consommation modérée.

Quels sont les besoins en protéines chez l'être humain ?

Au cours de pratiquement chaque décennie du siècle dernier on a répondu différemment à cette question. Au vu des données actuelles, cependant, on obtient des réponses bien différentes, selon l’institut auquel on se réfère. Il faut retenir une chose de ces données perpétuellement changeantes : Les recommandations de prise de protéines ont drastiquement diminué au cours des dernières décennies. Actuellement l’on recommande environ 0,8 g de protéines par kilo de poids corporel par jour. Concernant le contenu en protéines d’un aliment donné, il est intéressant de relever que le lait maternel ne contient que 1,2 % de protéines. L’enfant pourtant, lors de sa phase de croissance la plus importante, en est approvisionné de façon optimale. En comparaison : la teneur protéique des légumineuses est de 10-15 %. Personne n’a donc à se soucier de la quantité de protéines. Une alimentation végétale variée donne en outre la certitude de fournir à l’organisme tous les acides aminés essentiels en quantité suffisante sans risque de surcharge.

Les protéines : éléments principaux

Chaque protéine est une mosaïque d’environ 100 à 500 éléments, les acides aminés ( certaines protéines en contiennent même plusieurs milliers ). Les cellules humaines se composent essentiellement de protéines.
Chaque espèce animale et chaque espèce végétale possède des substances protéiques spécifiques. Ceci est possible, parce que les chaînes d’acides aminés peuvent se recombiner différemment. Lorsque l’être humain consomme une protéine de nature différente , il la scinde en acides aminés lors de la digestion et synthétise une protéine qui lui est conforme.
A l’heure actuelle l’on connaît plus de 80 acides aminés naturels. Parmi les 20 acides aminés trouvés dans le corps humain, 8 sont essentiels (indispensables) pour l’être humain. Ces derniers doivent être absorbés avec la nourriture, car le corps ne peut les synthétiser.
Les 20 acides aminés sont les suivants :
Alanine ( Al )Glycine ( Gly )Proline ( Pro )
Arginine ( Arg )Histidine ( His )Serine ( Ser )
Acide aspartique ( Asp )Isoleucine ( Ile )Threonine ( Thr )
Asparagine ( Asp )Leucine ( Leu )Tryptophane ( Trp )
Cystéine ( Cys )Lysine ( Lys )Tyrosine ( Tyr )
Acide glutamique ( Glu )Methionine ( Met )Valine ( Val )
Glutamine ( Glu )Phenylalanine ( Phe )
L’Arginine et l’Histidine sont considérées comme des acides aminés essentiels chez les nourrissons.

SAUVETAGE PAR DES PECHEURS D' UN CHIEN BLOQUÉ


LES VENTES DE BURGERS PLONGENT EN ANGLETERRE




Frozen beef burger and ready meal sales have plunged dramatically, according to the first retail sales data since the horsemeat scandal erupted.
Kantar Worldpanel said that in the four weeks ending February 17, frozen burger sales plunged by 43% while frozen ready meals dropped 13%.
While some of the decline can be directly attributed to consumers rejecting the products, there has also been an availability reduction as affected lines were progressively withdrawn by retailers.
Horsemeat contamination was first revealed on January 16 after analysis was undertaken by Irish food officials. The scandal has since spread across Europe.
A Nielsen consumer survey conducted two weeks ago showed that 96% of UK adults were aware of the horsemeat scandal and 74% were concerned about it.
According to Kantar, the latest research indicates a significant change in shopping habits as a result of the contamination.
The data also indicated changing fortunes of supermarkets during the 12 weeks to February 17.
It said out of the so-called Big Four supermarkets - Asda, Morrisons, Sainsbury (LSE: SBRY.L - news) 's and Tesco (LSE: TSCO.L - news) - only Sainsbury's increased market share in the quarter.
Sainsbury's saw a growth rate of 4.6% in the period, while Tesco (Other OTC: TSCDY - news) saw its market share drop from 30.1% a year ago to 29.7% now.
Tesco was the first major retailer to withdraw its frozen burgers, after equine DNA was discovered in products produced by its meat processors.
"It might seem natural to attribute this decline to the horsemeat contamination; however, Tesco undertook heavy promotions this time last year, where consumers received a £5 voucher when they spent £40, and not repeating this offer will have adversely affected its share," Kantar Worldpanel director Edward Garner said.
Morrisons was the only retailer to post a sales decline in the 12 weeks, due in part to easing Christmas demand, a lack of convenience stores and no online presence.
It has since announced a decision to buy a swathe of Blockbuster video stores to convert into metro outlets.
Morrisons is also expected to bolster sales in the coming months as it is the only major UK supermarket with its own abattoir division, assuring meat supply chain integrity.
Meanwhile, there appears to be a growing split in the upper and lower edges of the market.
"Waitrose and Aldi deliver all-time record shares this period of 4.8% and 3.3% respectively indicating that market polarisation and the 'two nations' consumer climate continues," Mr Garner said.
"Iceland records 10.1% growth confirming that the frozen food category as a whole remains robust."
Research now shows that the total grocery market is growing at a rate of 3.7%, which lags behind grocery price sector inflation of 4.3%.


 SOURCE

TROMPERIE SUR DE LA VIANDE BOVINE

SOURCE :

VIDEO  SUR LE LIEN SOURCE

Viande : un éleveur français dénonce les pratiques des abattoirs

Après le scandale de la viande de cheval, voici une histoire qui pourrait jeter un nouveau trouble sur l’industrie agro-alimentaire. Un éleveur laitier a en effet constaté que ses bêtes ont été revendues comme vache à viande. Les abattoirs concernés se défendent de toute tromperie.

                    

Alors que le scandale de la viande de cheval n'en finit plus de rebondir, livrant chaque jour de nouvelles révélations, la France doit-elle s'inquiéter des pratiques de ses abattoirs ?

Vaches revendues en type race à viande

Yves Sauvaget, éleveur laitier bio basé à Saint-Ovin, dans la Manche, s'est rendu compte que ses bêtes envoyées à l'abattoir ont été revendues comme des vaches à viandes. C'est en décidant de retourner voir les carcasses, quelques jours après les avoir données à l'abattoir, qu'il se rend compte que ses bêtes n'ont pas suivi l'itinéraire prévu.

"Je me suis rendu compte, quand on m'a fourni les étiquettes pesées fiscaux, que sur ces trois vaches laitières là, deux allaient être revendues en type race à viande et non en type laitier", explique Yves Sauvaget.

Ces étiquettes, l'éleveur les a précieusement conservées. Elles prouvent, selon lui, que les abattoirs ont sciemment trahi les consommateurs.
"Des morceaux identiques sont vendus six euros de plus le kilo en changeant uniquement le type racial", déplore-t-il. "La tromperie était facile à réaliser, il n'y a que les éleveurs qui peuvent s'en rendre compte".

Concerné, Leclerc se défend

Six euros de plus par kilo représentent un bénéfice de 1.500 euros par bête. Le groupe Leclerc, qui possède les abattoirs de Kermené, se défend de toute tromperie. "Kermené respecte les règles qui engagent toute la filière bovine française. (...) Si une erreur venait cependant à être constatée, malgré l'ensemble des contrôles stricts, nous mettrions tout en oeuvre pour remonter la chaîne de traçabilité et identifier la cause de l'anomalie", écrit ainsi le groupe, dans un communiqué.

Une histoire qui illustre un peu plus la crise de confiance qui touche aujourd'hui l'industrie agro-alimentaire, dont les ventes pâtissent fortement du scandale de la viande de cheval.

lundi 25 février 2013

CHIENS A ADOPTER, UNE PAGE PARMI TANT D' AUTRES




UN REFUGE QUI A DE NOMBREUX CHIENS A ADOPTER
TOUTES RACES, TOUS AGES.
 CERTAINS BENEFICIENT D' UNE AIDE A L' ADOPTION!!
 A VOIR   ICI

ACTION: PÉTITIONS DU SOIR

















PORCS, TRUIES ET ANIMAUX DE FERME :




 TAUREAUX